Rêves de jeunes époux
Datte: 14/02/2019,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
bizarre,
vacances,
amour,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
revede,
vidéox,
odeurs,
pied,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
coprolalie,
uro,
attache,
poésie,
délire,
Humour
fantastiqu,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... me brouter la minette, à genoux alors que je suis assise sur notre canapé. Pour me laper, la position est inconfortable pour lui, mais ô combien délicieuse et gracieuse pour moi et mon entrejambe humide marinant dans des fluides intimes. Il aime que je sois vêtue d’une robe assez ample ou d’une large jupe plissée. De la sorte, il est à la fête : il peut glisser sa tête sous le tissu et abaisser ma culotte qu’il ôte et fait voler au loin.
Sur ma motte qui frisotte, il me dorlote, me mignote et me gougnotte, s’adonnant au bucco-génital en me déshabillant le moins possible, pour ne pas que j’aie froid – alors que lui est complètement nu depuis longtemps. Lorsque je suis en situation de menstruations, il n’y a pas d’atténuation de sa propension à l’immersion de son muscle lingual, mais bien au contraire une accentuation de sa passion pour ces incursions ! Il continue à balayer ma touffe, sans esbroufe, sous les poils que je lui dévoile, langue sortie, aussi longtemps que j’en ai envie, sans montrer le moindre signe de fatigue ou d’impatience, il en a la science, de sorte que c’est moi qui suis obligée de lui demander d’arrêter, lorsque je n’en peux plus de ses lapements lascifs et suçotements jouissifs et que mon clitoris crie grâce, c’est trop, je n’en peux plus ! Son balayage qui m’érotise attise d’un feu foutral, quoique sans foutre puisque c’est un cunnilinctus, mon secteur bas-ventral. Son expertise à léchouiller agenouillé, à me fouiller sans cafouiller la moule ...
... mouillée, à farfouiller sans merdouiller, à trifouiller sans m’effeuiller, est un ravissement : j’ai l’assouvissement. Il me fait gazouiller de bonheur. Son aptitude, forgée par l’habitude, à positionner sa langue avec exactitude n’a d’égal que sa passion pour la béatitude qu’il procure à ma féminitude. Lorsqu’à l’acmé de mes sensations, sans qu’il puisse bouger sa tête, je serre les cuisses, cela lui broie douloureusement la mâchoire. On pourrait croire que de mal il va me laisser choir. Mais je suis gourmande, et c’est lui qui me demande de faire ainsi car il sait que ce geste amplifie ma volupté et, avec abnégation, s’oubliant lui-même d’une manière totale, il ne veut que cela. Un jour, à force de prendre sa tête pour un citron, je vais finir par lui déboîter quelque chose, et même là, je suis sûre que non seulement il ne m’en voudra pas, mais il me demandera si j’ai eu du plaisir quand même. Il me dit qu’à travers moi, il jouit de ma jouissance d’une manière plus intense, plus immense, qu’avec son propre corps, et il n’a de cesse, avec ses caresses, de me ravir plus fort. Ensuite, il m’invite à revêtir le gode-ceinture, et c’est reparti pour l’aventure ! Il me mendie la sodomie pour rallumer son incendie. Quand dans ce batifolage, sous l’effet de son enculage, son instrument de joie reprend de la vigueur et toute sa longueur, nous inversons les rôles : il reprend le contrôle.
Après quelques cabrioles, il me suce l’anus : voici une feuille de rose qu’il ose et me propose, ainsi ...