1. Dans le bureau d'Irène


    Datte: 13/02/2019, Catégories: fh, forêt, Collègues / Travail voiture, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, init, tutu, historique, prememois, initfh, Auteur: Chrismich, Source: Revebebe

    ... printemps.
    — Pas de moi ?
    — Non pas de toi, mais je crois qu’il s’en doute. J’ai juste dit que j’étais à un âge où j’avais envie de savoir ce que c’était. À toi, je peux le dire. Je voulais voir, toucher, tripoter, sucer une queue, ma première queue. Savoir ce que cela fait de l’avoir dans le corps. Voir et toucher des couilles. La sentir circuler en moi, gicler son jus. Connaître l’odeur et le goût du sperme. Tu étais là au bon moment, tu étais gentil et doux, alors pourquoi pas avec toi. Voilà ce que je me suis dis.
    — Et aujourd’hui ?
    — Je te l’ai dis ! Aujourd’hui, si tu veux, je suis à toi si tu veux m’en remettre un coup comme dans le temps.
    — Mais nous sommes dans ton bureau, à côté de tes secrétaires, sans dunes, ni lapins, ni voiture, ni personne pour nous regarder !
    — Je peux me lever, fermer la porte, me tenir les fesses sur le rebord du bureau, soulever ma robe et baisser mon slip sans l’enlever et toi tu peux te lever, baisser ton pantalon et sortir ta queue, dégager la peau de ton gland et me le rentrer, non ? Bandes-tu au moins ?
    — Si je bande ? Quelle question ! Bien-sûr que oui. Attends je te montre. Là, tu vois comme elle est raide avec sa fente qui dépasse quand je repousse la peau en arrière !
    — Alors enfile-la ! Tu ne peux pas rester comme ça et traverser le bureau et le secrétariat dans cet état. Approche et ajuste-moi ! Tu n’es pas obligé de mettre des heures, de faire des fioritures. Enfonce-moi bien loin ...
    ... dans le con. Lime un grand coup et tire, surtout tire ton jus.
    — Irène, écarte bien les cuisses et ouvre ta fente avec tes doigts. Je rentre en toi. Je te pénètre. Je t’enfile ma bite dans le con. Tu aimais bien dans le temps que je te parle ainsi, grossièrement, n’est ce pas ? Là, je suis au fond ! La reconnais-tu ? Accroche bien mes fesses, agrippe-toi.
    — Oui Daniel, je te sens en moi ! Ta bite est toute au fond ! Ton gland est tout dur et je peux même toucher tes couilles qui vont se vider en moi, m’inonder de foutre frais. Vas-y un bon coup ! N’hésite pas ! Ne me ménage pas ! Baise Daniel, baise ! Mon mari n’est pas ici aujourd’hui.
    — Mais je te baise Irène, je te baise, je te fouille la chatte, je frotte sur ton clitoris en te tenant aux épaules. Je vais te jouir dedans comme autrefois. Tu vas sentir mon jus s’étaler dans ton ventre. Il vient Irène, il vient ! Je ne peux plus rien arrêter. Regarde-moi bien dans les yeux pendant que je me vide en toi, les yeux Irène, les yeux ! Ne les ferme pas ! Regarde-moi jouir !
    — Je te regarde Daniel, je te regarde ! Je vois tes pupilles qui se voilent pendant que je sens dans mon ventre ton sperme qui sort de ta fente ! Tu me remplis Daniel ! Tu en as encore beaucoup dis donc ! Plus que mon mari ! Pour aujourd’hui c’est bien, je te remercie. Si tu veux, on pourra se retrouver en ville au moins une fois au prétexte d’un repas d’affaire et on ira dans ta voiture, sur une dune, ou à l’hôtel. 
«123»