1. Dans le bureau d'Irène


    Datte: 13/02/2019, Catégories: fh, forêt, Collègues / Travail voiture, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, init, tutu, historique, prememois, initfh, Auteur: Chrismich, Source: Revebebe

    — Te souviens-tu, Irène, de cette promenade en voiture à Ronce, toi et moi ?
    — Tais-toi Daniel ! Cela fera bientôt quarante ans !
    — Je sais bien. Mais il n’empêche que pour moi, c’était hier. Mon cœur tremblait et j’ai l’impression qu’il tremble encore.
    — Il faisait très beau, très doux. C’était en juin.
    — En mai ! C’était la première fois que j’étais seul avec toi si près de moi. J’avais envie de te toucher mais je n’osais pas.
    — Nous avions la permission de dix heures, pas plus.
    — J’ai arrêté la voiture dans un chemin, dans les dunes, sous les pins. J’ai coupé le contact.
    — Cela sentait la sève de pin quand on ouvrait la vitre.
    — Je regardais ton genou et un bout de ta cuisse. J’avais envie de t’embrasser.
    — Il y avait des lapins qui couraient dans la dune.
    — Quelque chose d’autre courait dans mon slip qui gonflait.
    — On voyait leur petite queue blanche dans la nuit.
    — Au prétexte de descendre un peu plus la vitre, je me suis penché sur toi en posant ma main sur ta cuisse, comme par mégarde. Avant de me rasseoir à ma place, j’ai pris ta main.
    — Avec cette vitre ouverte, j’ai regretté de ne pas avoir pris mon châle.
    — J’ai ramené doucement ta main sur ma cuisse en faisant en sorte que tu touches un peu ma queue à travers le tissu pour que tu saches combien je te désirais. Tu t’étais rendue compte que je bandais non ?
    — Ma mère me l’avait pourtant conseillé.
    — J’ai osé caresser la peau de ton genou, sur l’intérieur de la cuisse et je faisais remonter le tissu ...
    ... de ta robe bleue. Tu n’as rien dit.
    — Ma robe rose ! J’avais ma robe rose, je m’en souviens parfaitement.
    — Je me suis penché vers toi pour t’embrasser en laissant ta main sur mon ventre, et tu m’as tendu tes lèvres. Tout en t’embrassant sur les lèvres, j’ai poursuivi l’exploration de l’intérieur de ta cuisse en remontant vers ton ventre et tu as écarté tes jambes, je m’en souviens.
    — Je craignais que tu ne froisses ma robe.
    — Mes doigts sont arrivés au bord de ton slip et je suis passé sous le tissu pour toucher tes poils. Je touchais enfin ta fente. Mon cœur était sur le point d’éclater. Je suis entré doucement.
    — J’ai cru voir une ombre dans les pins et j’ai eu peur.
    — Sous mes doigts qui fouillaient ta fente à la recherche de ton clitoris, j’ai senti que tu mouillais.
    — Je me suis dis que j’avais rêvé. Qu’il n’y avait personne.
    — C’est à partir de cet instant que ta main s’est activée sur mon ventre. Que tu as ouvert ma braguette pour extraire ma queue. Tu m’as branlé, Irène !
    — Je me demandais si la forêt était ou non surveillée la nuit.
    — Non seulement tu as joué avec ma queue, la dénudant, la recouvrant pour la dénuder à nouveau, mais tu t’es penchée spontanément vers elle pour la sucer.
    — Je ne savais si je souhaitais qu’elle le soit ou pas.
    — Mieux, c’est toi qui m’as soudain dit : « Allons derrière, sur la banquette. »
    — Surveillée, nous étions protégés des rôdeurs.
    — Tu es sortie la première et une fois à l’extérieur, j’ai vu que tu retirais ton slip ...
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