1. Terreur à Ténérife


    Datte: 11/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... semblaient tous parler le même dialecte dont Jenny et moi-même ne comprenions pas un mot.
    
    Un serveur s'approcha de notre table, Harold et ses deux complices commandèrent alors que l'homme gardait les yeux rivés sur Jenny.
    
    Dès qu'il nous quitta, un homme assis à une table proche se leva et nous rejoignit, il discuta un bon moment avec Harold et ses potes.
    
    Ils explosèrent de rire et l'homme s'approcha de Jenny et posa ses mains sur ses nibards, il demanda lourdement en anglais :
    
    - "J'espère que vous appréciez vos vacances? ......"
    
    Tout le monde trouva cela hilarant. Jenny et moi nous étions figés, humi-liés alors que l'homme retournait à sa table.
    
    Le serveur revint avec des consommations pour les trois hommes, ils la sirotèrent et discutèrent entre eux les yeux braqués sur Jenny, de temps à autre ils caressaient machinalement ses appâts.
    
    On resta une bonne heure à cet endroit, de temps à autre des hommes se levaient et venaient inventorier les charmes de Jenny tout en discu-tant avec Harold et ses amis.
    
    Personne ne semblait avoir pitié de nous, même les femmes virent plai-santer avec Harold mais elles se gardèrent de toutes caresses ...
    ... indiscrè-tes.
    
    Lorsque Harold et ses deux comparses eurent fini leurs boissons, ils se levèrent et gagnèrent dans la maisonnette pour payer leurs consomma-tions.
    
    Harold tendit au serveur qui, je pense, devait être le propriétaire des lieux, une paire de billets de banque, puis il poussa Jenny sur ses ge-noux face à sa braguette.
    
    Le propriétaire descendit son pantalon sur ses genoux et Jenny le suça consciencieusement dans l'encadrement de porte.
    
    La foule fit de nombreuses remarques lorsque nous sommes partis, il n'était nul besoin de comprendre leur langage pour comprendre la teneur de leurs commentaires! ....
    
    Jenny semblait choquée, égarée.
    
    Je n'avais pas eu une seule chance de lui parler depuis qu'Harold s'était imposé comme notre maître.
    
    Je n'avais pas encore bien compris comment il s'y était pris, il ne nous avait pas menacés ni drogués, ni même abusés physiquement jusqu'à cet instant où nous avions quitté le parking de la boite de nuit.
    
    Mais Jenny et moi comprenions qu'il nous dominait totalement et que nous n'avions aucun autre choix que de lui obéir aveuglément.
    
    28 novembre 2007
    
    Coulybaca
    
    Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
    
    Vulgus 
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