1. Terreur à Ténérife


    Datte: 11/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... tandis qu'Harold lui martelait la foufoune, c'était insoutenable de la voir sans défense, violées par deux colosses noirs qui discutaient entre eux à son sujet et riaient de sa déconfiture.
    
    Le chauffeur ralentit et se gara face à une petite maison dans un quartier populeux de la ville.
    
    Nous regardions tous Harold continuer à baiser Jenny par derrière jus-qu'à ce qu'il se tétanise, agrippe ses hanches et se vide dans sa chatte non protégée.
    
    Il resta en place pendant presque une minute avant d'extirper sa bite de sa chatoune, puis il lui saisit les cheveux et la disposa de façon à ce qu'elle puisse lui nettoyer la queue.
    
    Elle tenta encore de lui résister le repoussant à de ses deux mains po-sées sur son ventre, mais il dit quelque chose à ses acolytes, l'un d'eux se redressa et me frappa violemment.
    
    Jenny comprit le message et cessa de lui résister, embouchant la bite d'Harold pour la nettoyer à fond.
    
    Les deux hommes dans le fond du van rangèrent leurs mentules dans leurs pantalons et sortirent du van, le chauffeur se releva, gagna l'arrière du véhicule et s'assit face à Jenny.
    
    Il sortit son chibre, Jenny se posta face à sa bite frémissante sans même attendre qu'on le lui ordonne.
    
    Elle referma ses lèvres sur le braquemart déployé et alors que la porte de la camionnette était grande ouverte, à la vue des passants elle fit de son mieux pour le sucer correctement.
    
    Alors qu'elle le suçait avec ardeur, il tendit la main et lui malaxa rude-ment les ...
    ... nichons, étirant douloureusement ses mamelons, il rit et parla avec ses copains jusqu'à l'instant où il s'assit bien au fond du siège fer-ma les yeux et se vida à gros bouillon dans sa bouche asservie.
    
    Jenny déglutit et avala l'épaisse purée puis elle lécha son méat lapant les dernières gouttes qui en suintaient.
    
    Elle se rassit et il sortit du van remontant son pantalon à sa taille, les promeneurs passaient, ralentissaient, parfois même s'arrêtaient, regar-daient attentivement Jenny et reprenaient leurs routes.
    
    Ils nous poussèrent hors du van et, au lieu de nous emmener dans la maison devant laquelle la camionnette était garée, ils nous firent passer le coin de la rue pour gagner une petite maison qui avait été convertie en un petit bar de voisinage avec une terrasse.
    
    Toutes les conversations cessèrent alors que nous nous dirigions vers la grille, Harold et ses amis s'assirent dans le petit espace clôturé.
    
    Il y avait environ deux douzaines de tables, presque toutes occupées, tous les consommateurs se turent et nous fixèrent Jenny et moi avec des yeux ronds comme des boules de billard alors que nous nous tenions de chaque coté d'Harold.
    
    Je fuyais leurs regards, mais je jetais un coup d'œil circulaire et consta-tais qu'il y avait une demi-douzaine de couples discutant et buvant mais la plupart des tables étaient occupées par des clients mâles.
    
    Après quelques secondes, quelques consommateurs saluèrent Harold et ses amis et les conversations reprirent
    
    Ils ...
«12...891011»