1. Instants volés


    Datte: 11/02/2019, Catégories: fh, extracon, amour, intermast, Oral pénétratio, tutu, ecriv_f, Auteur: Merry, Source: Revebebe

    ... cheveux, une invitation supplémentaire à te combler. Je savais que ce moment serait unique, qu’il y avait peu de chance que nous tombions à nouveau les masques, il nous fallait profiter de cet instant.
    
    Tu me repoussas doucement et me fit m’allonger. Tu étais dos à moi, ta bouche me caressait la nuque, tu mordillas le lobe de mon oreille, ta langue me fit frissonner quand elle glissa sur mon oreille. Pendant ce temps, ta main s’était glissée sous ma jupe. Tu me caressas par-dessus mon slip, prolongeant mon attente, je n’en pouvais plus, je voulais sentir ton doigt en moi, ou ta bite, ou même n’importe quoi. De ma vie, jamais je n’ai été aussi excitée, aussi avide de sexe. Tes doigts m’abandonnèrent. De frustration, je contractai mes fesses, qu’aussitôt tu te mis à malaxer.
    
    Que tes mains sont excitantes, si viriles. D’un mouvement tendre, tu me débarrassas de mon string de dentelle noire, tu le gardas dans ta main. Immobile pendant un instant. J’eus honte, je n’avais pas envie de passer pour une pute à tes yeux. Cette crainte, bien que furtive, fit redescendre mon excitation. Quand je sentis enfin tes doigts venir me fouiller, agacer mon clitoris gonflé, je ne pus m’empêcher de soupirer, enfin. Je me sentais si humide, si glissante, mon bas-ventre se réchauffa de l’intérieur, cette chaleur remonta le long de ma colonne vertébrale, je sentais comme des picotements…
    
    Je poussai un long cri, à peine audible, j’avais le souffle coupé. Tu étais là, nous étions ensemble. ...
    ... J’entendais ta voix, pour la première fois depuis de longues minutes, elle était implorante : "Marie…" Le ton de ta voix, un peu rauque, me séduisit, j’acquiesçai d’un léger mouvement de tête, sans plus penser une seconde à ressentir la moindre culpabilité, serait-il possible que je t’aimais ?
    
    Tendre, tu me déshabillas, tu commenças par retirer mon pull, prenant soin ensuite de replacer correctement mes boucles noires. Tu t’arrêtas un instant pour en respirer l’odeur puis tu cherchas la tirette de ma jupe, que tu fis glisser. Ma jupe tombée à mes pieds, nous nous regardâmes, une fois de plus. Tu n’en finissais plus de me regarder, comme si tu voulais graver dans ta mémoire l’image de mon corps, de mes seins ronds comme de petits pamplemousses, de leurs aréoles claires, de leurs tétons un peu trop longs, rendus turgescents d’excitation. Tu examinas aussi mon sexe, soigneusement épilé pour plaire à mon fiancé. Tu évaluas ma silhouette, bien proportionnée, ma taille fine, mes cuisses que je juge trop épaisses.
    
    Je me sentais belle sous ton regard, je voulais te plaire, et surtout, je n’en pouvais plus de te désirer, mais je savais que tu prolongeais cet instant, que tu le savourais, pour pouvoir le conserver, à l’abri des regards, parmi tes souvenirs.
    
    Tu me soulevas dans tes bras, tu étais nu toi aussi. Mes jambes se nouèrent autour de ta taille, ma chatte ruisselante contre ton ventre. Je sentis que tu me déposais sur l’accoudoir du divan et directement ta bouche à nouveau ...