1. La boulangère et l'étudiant


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vacances, magasin, Masturbation Oral fdanus, fsodo, yeuxbandés, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... quitte discrètement la pièce, sans faire de bruit pour ne pas la réveiller, après il improvisera. Il marche à reculons, se cogne dans la porte et tout bêtement pousse un petit cri, pas très fort, mais trop fort quand même. Béatrice se redresse en sursaut :
    
    — Edouard ! … mais que fais-tu ici ?
    — Je… j’étais monté prendre un bain et… je ne savais pas que vous étiez ici.
    — Tu… tu t’es fait mal dans la porte ?
    — Oui… Non… je ne sais pas.
    
    Edouard n’arrive pas à détourner ses yeux du corps de Béatrice qui, l’effet de surprise passé, est beaucoup plus détendue. Elle lui reparle avec sa voix habituelle, maternelle et très douce.
    
    — Mon petit Edouard, je ne pensais pas que je te mettrais dans cet état là.
    — Mais Béatrice, je vous l’ai dit je… je ne me suis pas fait mal.
    — Mon grand nigaud, ce n’est pas de cet état là dont je te parlais, mais de celui qui montre tes sentiments. Baisse la tête et tu verras.
    
    Edouard comme un zombie baisse la tête et découvre qu’il est dans un état d’excitation qui ne prête à aucune confusion. Son membre est dans un garde-à-vous sans faiblesse, presque douloureux. Il ne sait plus quoi répondre, ni où poser ses yeux.
    
    — Mon petit Edouard, c’est plutôt flatteur de voir qu’une boulangère, mère d’une fille de ton âge, te fait autant d’effet.
    — C’est par ce que vous… vous êtes…
    — Arrête de bégayer et dis-moi donc ce que je suis.
    
    Edouard reprend son souffle et dit :
    
    — Oui, vous êtes belle…
    — C’est très gentil de me faire ce ...
    ... compliment.
    — … et en plus je vous trouve très… très désirable… Oh ! Non, pardon, très séduisante.
    — Donne-moi donc mon peignoir, que je puisse sortir de l’eau.
    
    Béatrice se lève, se saisit du peignoir que lui tend Edouard, l’enfile, le ferme complètement en serrant sa ceinture et sort de l’eau :
    
    — Décontracte-toi, Edouard, et frotte-moi fort le dos pour me réchauffer, ce serait dommage que j’attrape froid. Mais n’abuse pas de la situation, une femme c’est fragile et ça se respecte.
    — Mais je vous respecte, Béatrice.
    — Pour l’instant j’ai l’impression que tu t’es surtout rincé l’œil et que tu as beaucoup de choses à te faire pardonner.
    — Alors, je vous demande pardon, c’était difficile de ne pas vous regarder…
    — Pardon pour quoi ? Parce que tu m’as vu toute nue ? Non, ce n’est pas nécessaire. Je ne suis quand même pas la première femme que tu as vue dans cette tenue là ?
    — Toute nue, non ! Endormie dans un bain, oui !
    
    Béatrice se tourne vers Edouard, le prend par les épaules et l’embrasse sur la joue :
    
    — Remets-toi de tes émotions, tu peux prendre un bain ou une douche, je vais continuer de m’habiller dans ma chambre.
    — Excusez-moi pour tout, Béatrice.
    — Ce n’est rien, descend dès que tu auras terminé, nous mangerons tôt. Le matin je me lève aux aurores, il faut que je sois dans la boulangerie avant 7 heures.
    
    Edouard ne sait pas très exactement sur quel pied danser. Béatrice a pris l’incident du bon côté, mais de là à la séduire, il y a un pas qui semble ...
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