La boulangère et l'étudiant
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
magasin,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
yeuxbandés,
Auteur: Phileras, Source: Revebebe
... Edouard en bonne mère de famille. La vue de sa poitrine et de sa peau à travers le tissu déclenche sa troisième très grosse érection qu’il ne peut dissimuler et que cette fois elle ne peut plus ignorer. Après avoir embrassé Edouard, elle lui dit avec un petit air complice :
— Dors bien et à demain matin, mon petit Edouard. Si tu ne peux pas cacher tes émotions chaque fois que je te fais une grosse bise, je serai obligée la prochaine fois de te faire un grand salut à la main de loin.
— Excusez-moi, Béatrice.
— Ne t’excuse pas, mais je te rappelle que je suis une mère de famille et que j’ai une fille de ton âge.
Edouard regarde Béatrice droit dans les yeux et rajoute avec une émotion certaine :
— Et pourtant vous me semblez si jeune et si… si…
— En deux mots tu trouves que je suis une mère de famille encore belle et désirable ?
— Bien sûr, plus que jamais.
— Tu aimerais prendre dans tes bras cette mère de famille pour lui faire un câlin ou la dévorer ?
— Ici ?
— Non ! Pas dans le lit de ma fille. Viens, nous serons mieux dans ma chambre.
Béatrice prend Edouard par la main. Il repense à tout ce qui vient de se passer depuis l’épisode de la salle de bains, il ne se savait pas aussi émotif dans de telles circonstances. En entrant dans la chambre il aperçoit un lit plutôt haut qui fait face à une belle armoire à glace. Béatrice enlève le dessus de lit d’un grand geste et retire délicatement sa robe de nuit qu’elle dépose sur une chaise :
— Voilà, je suis à ...
... toi, je veux être la plus désirable des mères de famille pour toi.
Après quelques secondes d’hésitation, Béatrice se reprend :
— Non ! Pour toi je n’ai pas envie d’être une mère de famille, je veux simplement être la plus désirable des femmes.
Béatrice prend avec une grande douceur la tête d’Edouard dans ses mains et lui déclare avec un petit sourire malicieux :
— Tu as envie de m’embrasser ?
— Bien sûr.
— Alors qu’attends-tu pour le faire, c’est le moment ? Pour le reste, prends tout ton temps, nous avons toute la nuit devant nous.
— Me donnez-vous quelques secondes ?
— Bien sûr.
Edouard quitte Béatrice avant de l’embrasser et descend quatre à quatre l’escalier qui conduit à la salle à manger et à la cuisine. Quelques secondes plus tard, il est de retour avec deux verres de rosé bien frais à la main. Béatrice est sur le lit, allongée sur le côté.
— Béatrice, je bois à votre beauté, à votre charme et à notre nuit.
— Et moi, mon petit Edouard, je bois tout simplement à ta fraîcheur et à toi. Savoir que l’on est désiré dès le premier instant par un jeune et charmant garçon est le plus beau cadeau que l’on puisse faire à une femme.
Les deux verres bus, Edouard les pose sur la table de nuit et s’allonge sur le lit face à Béatrice. Il pose sa main sur le creux de ses reins, sa peau lui paraît très douce. Il peut commencer à lui faire de longues caresses de ses épaules à ses cuisses.
— Serre-moi très fort comme tu semblais tant le désirer, lui suggère ...