Premier fantasme exaucé
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
école,
jeu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Collègues / Travail
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
... passe sa main entre mes cuisses.
Je lui retourne un soufflet d’opérette. Il ne peut s’empêcher de sourire, me prend par la main et tente de m’emmener dans la chambre. À moi de l’attirer vers la table. Dommage… il n’a pas tout compris. Il me caresse la nuque. Non, Antoine. Allez, un petit effort…
— Enfin, Monsieur, vous n’y pensez pas ?
— Si, Mademoiselle : votre jolie chatte serait un digestif idéal.
— Il n’en est pas question !
— Mais si, Mademoiselle. Allez, penchez-vous sur la table.
« Pourquoi ne me force-t-il pas à me mettre dans la position qu’il me suggère ? Il ne semble pas plus habitué que moi à jouer à cela. »
Je m’incline sur la table comme Anna tout à l’heure. Je m’attends à entendre la fermeture Éclair de son jean et sentir son membre s’insinuer sans autre forme de procès dans mon vagin. Je suis chaude comme la braise et tout mon bas-ventre réclame un membre masculin. Je m’efforce de ne pas regarder ce qu’Antoine fait.
Contre toute attente, je ressens sa langue me lécher les cuisses et monter vers mes fesses. C’est très bon… mais ce n’est pas ce que j’attendais. Il soulève délicatement ma jupe, alors que je souhaitais être mise à nu brusquement.
Sa langue me lèche maintenant délicieusement le sexe. Elle s’insinue entre mes grandes lèvres, va fouiller mon vestibule. C’est doux et c’est bon. Je renonce à mon désir d’être temporairement une femme objet. J’écarte les jambes pour que sa langue puisse toucher mon clitoris, plus difficile à ...
... atteindre par derrière. Il m’aspire et c’est délicieux, tendre.
Tout à coup, plus rien. Je tourne la tête pour comprendre ce qui se passe. Antoine a baissé son pantalon et son slip. Il passe un préservatif sur sa verge, presque verticale, tant il est excité. Je regarde à nouveau devant moi. J’espère qu’il va comprendre mon fantasme. Je fais une nouvelle tentative pour le lui indiquer :
— Monsieur, vous avez eu ce que vous vouliez. Puis-je me rhabiller ?
— Non, vous m’avez excité. C’est trop tard.
J’ai de nouveau l’espoir qu’il va me consommer comme un objet. Il me pénètre d’un coup. J’aimerais qu’il me laboure rapidement. Mais c’est vraiment dans la nature d’Antoine de faire tendrement l’amour. Il me caresse, entre en moi doucement et profondément, accélère le rythme en prenant le soin de me caresser la vulve. C’est très bon, mais ce n’est pas ce que j’attends en ce moment précis. Il prend soin de m’attendre en caressant mes fesses et en faisant glisser son doigt sur mon bouton. Je jouis bientôt à la fois sous ses doigts et par une longue poussée dans mon vagin. Nos corps se séparent et je l’embrasse tendrement. Il m’a donné du plaisir et je lui en sais gré. J’aurais cependant tant aimé qu’il entre davantage dans le scénario que j’avais conçu…
—ooOoo—
Deux jours plus tard, le micro de l’université annonce :
— Mademoiselle Dupont est attendue à 16 heures dans le bureau de monsieur Heins…
J’angoisse toute la journée… Que va-t-il me dire ? Oui, j’ai observé ce ...