1. TABLE DE SAPIN 13


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Pour quoi faire ?
    
    - Je ne sais pas, riposta-t-elle. Tu n’as pas une petite
    
    Idée ? Elle haleta entre deux plaintes.
    
    Cette petite garce m’excitait au plus haut point.
    
    - J’en bien une. Répliquais-je.
    
    - Ah oui ! Et je peux savoir laquelle ?
    
    - La même que la tienne, cochonne.
    
    - Ah bon !
    
    Il m’en fallut pas plus pour me mettre dans des dispositions exceptionnelles.
    
    - Euh, nous sommes au travail, articula-t-elle d’une voix rauque.
    
    - Ah oui ! Alors qu’attends-tu pour sortir.
    
    Comme elle n’en fit rien, je me suis levé et je me suis approché de la porte d‘entrée. Je me suis empressé de la verrouiller. À mon retour près d’elle, Isabelle se mordait les lèvres.
    
    - Arrête, où je cris ! Rigola-t-elle.
    
    J‘ai posé ma main sur sa nuque pour l’attirer à moi.
    
    - Cris, qu’attends-tu ?
    
    Elle n’en fit bien sûr rien. Elle s’est même laissé embrasser. Sa langue s’est activée dans ma bouche. C’était une nature, cette
    
    Isabelle ! Elle m’a embrassé avec frénésie. Elle devait avoir un gros retard d’affection ! Pensais-je. Puis elle m’a échappé pour se mettre debout
    
    - Tu pourrais peut-être passé ce soir à la maison. Fit-elle en se plaquant à moi. Se frottant contre mon ventre,
    
    - Et qu’est-ce que tu fais de ton mari, ma cocotte ?
    
    - Absent pour deux jours, répliqua-t-elle, en roucoulant lascivement.
    
    - Alors, tu en dis quoi ?
    
    - Je ne sais pas si j’aurais autant envie ce soir, qu’en ce moment.
    
    - Bonne réponse. Répondit-elle en se penchant.
    
    Elle a ...
    ... fourragé sous sa jupe. Quand ses mains réapparurent à la lumière du jour, elle entraînait avec elles une culotte rouge. Elle la fit rouler sur ses cuisses, la faisant tomber au plus le bas de ses talons. Cette initiative, d’une impudeur troublante, me fit grimper un peu plus en flèche ma tension artérielle.
    
    - Sais-tu cher collègue. M’envoya-t-elle coquettement. Que je suis toute nue sous jupe à présent ?
    
    - Tu m’en vois ravis.
    
    Pour mieux me convaincre, elle remonta sa jupe. Elle était si étroite qu'elle doit se contorsionner. Elle pouffa de rire en surprenant mon regard glissait sur sa toison fournie. Qu’une épaisse mouille bordée le contour de la fente. Je l’ai effleuré du bout du doigt. Puis j’ai caressé les chairs mauves, qui s’épaississaient à l’entrée du vagin. Je n’avais qu’une idée en tête, approfondir notre relation.
    
    - Intéressant, fis-je d’une voix oppressée.
    
    Il faisait bien chaud dans ce bureau à présent. Mon ventre s’embrasait au fil des minutes. J’ai regretté un instant d’avoir mis ce jean, si serré. Qui me faisait apparaître aux yeux da ma collègue, indécent !
    
    Déjà, la coquine s’est empressée de glisser ses mains sous mon tee-shirt. Ses doigts m’ont électrisé. Un frisson m’a parcourait tout le corps. En moins longtemps qu’il me fallut pour l’écrire. Elle m’a fait passer mon seul vêtement par-dessus la tête. Me m’étant par la suite mon torse à nu, hormis mes poils. J’avais les tétons tout bandés. Elle a enfouit son visage dans mes poils. Ses lèvres ...