1. TABLE DE SAPIN 13


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Quand ma femme est entrée dans la cuisine, nous étions avec Patricia en train de mettre la table.
    
    - Ça sent bon ! Fut ses premières paroles.
    
    - Nous l’avons cocoté avec amour… répondis-je. Alors que Patricia se mit à rire.
    
    - Je vois ça. Répliqua-t-elle en soulevant le couvercle de la couscoussière. Bon je ne sais pas pour vous mais moi je vais me servir un kir.
    
    - Un pour moi aussi fis-je.
    
    - Tu en veux un Patricia ?
    
    - Non je préfère un verre de soda. Pas d’alcool pour moi. Cela me fait perdre la tête.
    
    - Je te laisse te servir. Répondit ma femme.
    
    Pendant ce temps là, j’en es profité pour mettre le feu dans la cheminée. Cela faisait plus convivial.
    
    Pas le temps de finir notre verre que déjà mes beaux-parents franchissaient le pas de la porte. Après le salut d’usage je me suis proposé de m’occuper de sortir les bagages de la voiture. Alors que je m’apprêtais de les emmener jusqu’à la chambre je fus rejoint par ma belle-mère. Qui prit la peine de fermer la porte avant de me sauter dessus. Me roulant un patin. J’en ai profité pour glisser ma main sous sa robe. Avant de la faufiler à l’intérieur de son collant. Comme souvent chez elle, elle ne portait pas de culotte. Mes doigts bougeaient à l’entrée de son vagin. Subjugué, elle écarta les cuisses comme pour mieux se laisser fouiller.
    
    - Bon ! Ne nous attardons pas trop longtemps. Notre absence va faire jaser.
    
    - Il faut à tout prix qu’on se voit dans la semaine.
    
    - Tu es en manque.
    
    - A ton avis ...
    ... ?
    
    J’ai repris ma main pour la glisser sous mes narines.
    
    - Ça sent bon ? Me fit-elle.
    
    - J’ai l’impression de sentir du sperme. Répliquais-je.
    
    - Mon cul !
    
    - Il ne t’a pas baisé ?
    
    - Laisse tomber ! Veux-tu.
    
    Alors qu’elle prit le chemin des toilettes, moi je suis retourné dans la cuisine. Que fus ma surprise d’y trouver Isabelle, une collègue. Elle était accompagnée de son mari.
    
    - Nous nous sommes rencontrer sur la route, fis mon beau père, comme pour justifier leur présence. Alors nous leur avons demandé de venir manger chez nous à la bonne franquette. J’ai bien fait Alain ?
    
    - Mais vous êtes chez vous ! Plaisantais-je.
    
    - On ne savait pas que vous nous aviez cocoté un couscous. « Et quel couscous ! » fis-je pour moi-même.
    
    - Ça tombe bien. Fit ma belle-mère en faisant son entrée. J’ai une faim de loup.
    
    Avant d’ajouter :
    
    - Installez-vous, j’amène l’apéro.
    
    Isabelle a profité que ma femme s’affaire de mettre deux couverts supplémentaires pour venir me saluer. Elle avait la quarantaine, se donnant du mal pour paraître ingénieuse dans le service. Rouquine, grande, opulente, les seins et les fesses ondoyant au rythme de ses pas. Elle se parfumait beaucoup, sans doute pour effacer l’odeur de transpiration qu‘elle traînait derrière elle.
    
    Ce soir là, Isabelle s’était engoncée dans un tailleur, un peu court et étroit pour elle. Une habitude chez elle. Qui projeté à la vue de ceux qui désiré le voir un fessier évasée. Un peu modelé comme le fait une ...
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