L'entretien d'embauche
Datte: 08/02/2019,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
Auteur: Yuri Plume, Source: Revebebe
... d’orange Hélène ?
— Oui, Madame. Merci.
En attendant, j’ai envie de marquer ma nouvelle possession en lui mettant une main aux fesses, mais la règle tacite est claire : aucune incivilité d’ordre sexuelle dans les parties communes. Il en va de même pour celles privées qui ne nous appartiennent pas. Je sais que Sandrine, la cheffe des cuisines, verrait d’un très mauvais œil que je « joue » avec une de mes subordonnées « chez elle ». Je me tiens donc à carreau tout en attendant que la cuisinière revienne avec la boisson demandée.
Une fois le liquide bu, nous utilisons le monte-charge réservé aux employés. Arrivées au premier étage, nous empruntons le long corridor Est. Tout en cognant à une porte, je lui fais des recommandations :
— Fais preuve de beaucoup de respect. Réponds avec sincérité à toutes les questions de l’héritière. N’hésite pas à l’interroger à ton tour avec courtoisie lorsqu’elle te l’autorisera. Sache, qu’elle possède énormément de pouvoir et pas qu’au sein du domaine. Toutefois, ne t’inquiète pas, je serai à tes côtés et je te soutiendrai si c’est nécessaire.
Voilà ! De toute façon, l’entretien devrait bien se dérouler vu l’enjeu.
********************
Mon appréhension, déjà au plus haut après ma petite aventure, est montée d’un cran suite à la tirade de Corinne. Cependant, je n’ai pas le temps d’y penser davantage, car la porte s’ouvre sur une jeune femme blonde âgée tout au plus d’une vingtaine d’années. Elle nous accueille avec un grand ...
... sourire. Sa jeunesse et sa gaîté sincères renforcent l’austérité de la robe qui recouvre son corps. C’est une sorte d’uniforme noir et blanc de domestique qui s’apparente à ceux de certains vieux films.
Elle s’efface pour nous laisser pénétrer dans un grand salon meublé avec goût.
— Mademoiselle est dans son bureau, Chloé ?
— Oui, Mademoiselle est au téléphone, Corinne. Cependant, elle m’a demandé de vous y introduire dès votre arrivée.
Après avoir frappé trois coups, ma nouvelle responsable m’invite à pénétrer la première dans un cabinet professionnel, avant de me suivre.
Une femme d’une très grande beauté est assise derrière un bureau de ministre, un casque-micro sur la tête et les yeux dans le vague. Elle parle en anglais à un interlocuteur que je n’entends pas. S’apercevant de notre présence, elle nous fait signe de fermer la porte, d’avancer et de patienter.
Je prends le temps d’examiner, d’un coup d’œil circulaire, ce nouveau lieu. C’est une immense pièce rectangulaire plus spacieuse que la précédente. Elle respire le luxe, mais est fonctionnelle…
Je sursaute de surprise, car Corinne vient de saisir mon avant-bras gauche d’une poigne ferme tout en appliquant son autre main sur mon postérieur. Bien que choquée, je n’ose rien dire. Elle m’entraîne avec elle vers l’extrémité droite de la salle. Ses doigts posés sur mes fesses indiquent, par de légères pressions, la direction à prendre. C’est donc sous son contrôle que j’évite deux canapés se faisant face, ...