L'entretien d'embauche
Datte: 08/02/2019,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
Auteur: Yuri Plume, Source: Revebebe
... n’arrive pas à la faire glisser le long de ses jambes. Je lève la tête à la rencontre de ses yeux. Elle a arrêté de pleurer et j’y lis à la fois de la reconnaissance mêlée à de la honte. Je détache sa jupe qui tombe à ses pieds sur le carrelage. Je comprends alors la raison pour laquelle je ne suis pas arrivée à la déculotter : son slip est pris à l’intérieur des jarretelles. Je défais ces derniers tout en lui expliquant.
— Tu as de très beaux sous-vêtements Hélène. Cependant, lorsque tu portes ce type de lingerie, il faut passer les jarretelles en dessous de ta petite culotte, sinon tu seras gênée quand tu devras aller aux toilettes. Souviens-t-en, car avec ton uniforme, tu en auras un avec des bas blancs.
Je finis par récupérer mon « cadeau ». Je remarque que la partie du tissu recouvrant le bas de son coquillage est légèrement mouillée et ce n’est pas de la sueur. Gentille, je ne fais aucun commentaire, car ça la mettrait encore plus mal à l’aise. Toutefois, c’est de bon augure pour ce qui l’attend dans le bureau de Mademoiselle. Je la rhabille et lui sèche les joues. Je sors un nécessaire de maquillage afin de la retoucher un peu avant de la conduire devant l’héritière.
— Tu peux me remercier pour l’aide que je viens de t’apporter.
— Merci, Madame.
— Dans le futur, j’attends une certaine autonomie de ta part.
Elle fait un hochement de tête pour toute réponse. Elle me semble bien éteinte. Son combat intérieur a dû la vider de son énergie. J’espère qu’elle ...
... va se « réveiller », car je ne veux pas que Mademoiselle m’accuse de l’avoir droguée. Je téléphone à ma supérieure afin de la prévenir de mon départ imminent de la dépendance avec Hélène.
Je place bien en évidence sur mon bureau mes trophées. Nous prenons une voiturette. Direction le manoir !
— Hélène, lorsque tu es en ma présence et assise, tu dois laisser un écart de deux poings entre tes pieds bien à plat par terre. Il en va de même pour tes genoux. De plus, tu dois te tenir droite, les mains posées à plat sur tes cuisses.
Elle m’a obéi. Sa vulve déjà humide va être rafraîchie par la vitesse de la golfette, lancée à vive allure sur le chemin en terre compressé. Le reste du voyage se passe en silence. Toutefois, je ressens bien son trouble certainement dû à l’absence de sous-vêtements. Elle doit éprouver tout plein de sensations encore inconnues jusque-là. Elle gigote donc pendant tout le trajet. Cependant, elle ne manque pas de marquer son admiration pour le parc. En effet, elle n’arrête pas de tourner sa tête de droite à gauche afin de contempler l’agencement des différents espaces verts que nous laissons derrière nous au fur et à mesure de notre avancée. Lorsque nous arrivons à portée de vue du manoir, ses yeux ne le quittent plus.
Je gare le véhicule devant l’entrée de service, à droite de l’imposante bâtisse. Je pénètre avec Hélène dans les cuisines et demande à Élodie, qui nettoie un fourneau, de m’apporter un verre d’oranges pressées.
— Tu aimes le jus ...