Retour de l'internat (4)
Datte: 08/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Swingme, Source: Xstory
... encore de temps en temps ensemble. Je lui ai parlé de toi. Si tu veux, je peux te faire le rencontrer.
— Il est comment ?
— Le plus simple est que tu le vois. Ne crains rien, c’est un gentleman.
— Ok alors !
Le jour où Peter est venu dîner chez Cassandra, je me sentais comme une jouvencelle à son premier bal. Mon cœur battait follement dans ma poitrine. En effet gentleman, il a tout fait pour me rassurer. Nous n’avons fait que parler, nous découvrir. Il voulait comprendre mes envies, pour savoir ce qu’il pourrait me proposer. Pendant que je parlais, je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer qu’il était particulièrement bien bâti, sportif, élégant, très attirant. Quand il est reparti il m’a laissé dans un état d’excitation folle, et j’ai dû sauter sur Cassandra pour me satisfaire. Quelques jours plus tard, il a donné son accord, tout en gardant le secret sur ce qu’il me réservait.
Aujourd’hui, c’est le grand jour. Peter n’a fixé qu’une condition : que je m’habille sexy, et sans sous-vêtements. Je savoure l’incertitude qui s’empare de moi, à l’instant fatidique du choix de la tenue : étaler les vêtements sur le lit, les essayer, imaginer les pensées et les réactions des hommes, celles de Peter en particulier… Me décider, changer d’avis au dernier moment… Seule devant le miroir de la salle de bain, j’arrange les mèches qui tombent subtilement sur mon front, corrige une dernière fois mon maquillage.
L’heure de départ est fixée à vingt-deux heures. Peter vient me ...
... chercher avec Cassandra. Il valide, d’un regard appréciateur, la tenue de sa nouvelle protégée : tout de noir vêtue, jupe courte et moulante, associée à un haut au dos nu, mettant en avant la cambrure naturelle de mes reins, et laissant deviner les formes de ma poitrine. Il donne le signal du départ.
Le trajet en voiture paraît interminable à la débutante que je suis. Je regarde défiler dans la nuit les réverbères, incapable de me repérer dans la ville. Peter, fermé, silencieux, passe des musiques très suggestives, et mon esprit ne peut s’empêcher de divaguer, imaginant tous les scénarios possibles. L’inquiétude se mêle à l’excitation. Mes jambes tremblent toutes seules.
Enfin, dans un quartier assez sordide, éloigné du centre-ville, Peter stoppe son 4x4 aux vitres fumées. Un voiturier surgit de nulle part et s’empare des clés, alors que Cassandra et moi, sexy comme jamais, descendons du véhicule. Immobile au milieu du trottoir, en attente des indications de Peter, je me sens comme une enfant. Ou plutôt… comme une jeune vierge avant son premier rapport. Perdue, impatiente, anxieuse. Peter toque à une porte presque invisible, un judas s’ouvre, un regard inquisiteur vérifie l’identité de l’intrus, et nous entrons.
L’intérieur de la boîte est beaucoup plus classe que la rue crasseuse d’où nous venons. Ambiance feutrée, cuirs, moquette épaisse, bois précieux, éclairage doux et indirect, musique jazzy, tenues distinguées, on ne se trouve pas au Macumba du coin. Peter nous ...