Des amis formidables
Datte: 08/02/2019,
Catégories:
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Auteur: Bagatelle, Source: Revebebe
... une sensation grisante qui revenait lancinante, une envie de faire l’amour, de sentir l’extase envahir mon corps, d’être prise plus à fond. Ma petite chatte imberbe commençait à mouiller de plus en plus. Lui, je le sentais déjà dans un état second, dur, épais, ou était-ce ma petite rose du matin pas encore éclose qui enserrait si bien son joli dard. Thierry ne pouvait que la sentir lui comprimer son appendice, et il continua ses caresses jusqu’à faire naître mon désir. Il coulissait sans effort maintenant, ses doigts taquinant mon clitoris décapuchonné par l’excitation. Je ne pus feindre plus longtemps mon plaisir, je poussai alors mon bassin pour l’aider à aller plus loin, bien à fond, je lâchai un « Humm » de plaisir.
Mon mari ouvrit les yeux, sans bouger il me regardait. Il comprit très vite ce qu’il se passait. Il l’avait promis à Thierry qu’il me posséderait au réveil. Il était l’heure de se réveiller…
Pendant cinq minutes, mon amant me fit l’amour doucement, avec légèreté, agréable attente à l’entrée de ma grotte puis bien à fond, jusqu’à la garde, en prenant la peine de ne pas trop bouger. Je sentais qu’il ne voulait pas réveiller mon conjoint, qui lui me regardait toujours, attentiste aux moindres signes de plaisir sur mon visage. J’agrippais Thierry de ma main gauche, l’autre coincé sous ma tête. Je restais encore un moment ainsi, le laissant me pénétrer doucement, délicatement, regardant mon mari dans les yeux.
Thierry me parla doucement dans le creux de ...
... l’oreille ; il désirait que je sois seule avec lui, qu’il puisse me faire jouir, me faire l’amour, rien que nous deux. Je caressai alors le visage de mon mari, lui fermant les yeux, je lui déposai un baiser sur la bouche, puis me tournant vers Thierry, je passai par-dessus et lui dis :
— Suis-moi.
Une fois sortie de la chambre du sous-sol, je refermai la porte derrière moi. Je montai la première marche menant au rez-de-chaussée et me retournai, j’étais ainsi à sa hauteur. Il me prit dans ses bras et nous nous embrassâmes langoureusement. C’était enivrant ; la lumière violente à présent, révélait, la tension, la virilité, la bestialité de cet homme. Son désir se lisait sur chaque trait de son visage, il voulait en découdre, me faire l’amour avec rage. Ses mains sur ma nuque, mes épaules, descendant doucement sur mes hanches jusqu’à mes fesses, plaquant mon corps contre le sien. Son corps électrique, dont le fier étendard tendu battait la mesure contre ma peau, cherchant à me faire signe de sa bannière maculée. La prenant dans ma main, je le caressai doucement pour bien lui faire comprendre que je m’offrais à lui.
Assise sur une marche, la bouche prompte et humide, je m’appliquais à le remercier de ses largesses de la veille, le butinant, le happant, l’amenant si proche de son point de rupture, qu’il dut filer d’entre mes doigts pour ne pas pleurer à chaudes larmes. Défaillant, il dut s’asseoir sur une marche pour reprendre un peu de vie.
Sans capote, à califourchon ...