1. Des amis formidables


    Datte: 08/02/2019, Catégories: ff, fhhh, grp, fbi, couleurs, inconnu, sexshop, fsoumise, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, double, fdanus, fsodo, jouet, yeuxbandés, Auteur: Bagatelle, Source: Revebebe

    ... derrière moi, me caressant les fesses, écartant mes cuisses pour que son ami entre bien à fond. Il me lubrifia généreusement l’anus et entra en moi. Ils partirent aussi rapidement…
    
    Ce fut merveilleux, une soirée mémorable. Avec tout le champagne bu, notre hôte nous proposa de rester dormir. Nous étions tellement fatigués que nous acceptâmes, et cela, même si je n’avais pas ma valise, restée à l’hôtel. J’avais hâte de me retrouver avec mon mari pour discuter de tout cela.
    
    Thierry voulait dormir près de moi, pour sentir encore mon corps, avant que je ne disparaisse, mais mon mari n’accepta pas, il aurait le droit de venir nous réveiller au petit matin par un gros câlin.
    
    Seule avec mon mari, au sous-sol, dans cette salle transformée en chambre d’hôtes, je me blottis contre lui, nous discutâmes un peu de la soirée, et nous endormîmes enlacés, repus, nus.
    
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    Dimanche matin.
    
    Il était bien 10 h quand je vis la porte s’entrouvrir ; la silhouette de Thierry se dessinait dans l’entrebâillement… Timide, je me retournai dans le lit, faisant face à mon mari qui dormait toujours. Thierry entra dans la chambre, puis dans le lit, se blottissant derrière moi. Je fis semblant de dormir. Il ne bougeait pas, nu comme un vers. Je sentais sa peau fraîche contre la mienne si chaude, son sexe mou contre mes fesses. Il posa un bras le long de mon corps et attendit…
    
    Je le laissais faire, curieuse et troublée. Les minutes passaient ...
    ... silencieuses, je ressentais bien qu’il n’osait me réveiller.
    
    Mon corps s’éveillait, mon esprit aussi, j’étais à l’écoute de mes sensations, de mes envies, de ma culpabilité, que faire ? Ne rien faire et attendre… la pièce plongée dans l’obscurité ; juste éclairée par ce trait de lumière d’une porte mal fermée. Sa main bougea finalement, doucement, se posant sur ma taille, sa tête tout contre ma nuque, lui aussi à l’écoute. Son corps se réchauffait, ses mains aussi, son sexe se fit plus présent maintenant que ses doigts se posaient sur mes fesses. Mon cœur battait plus fort. Par de légers va-et-vient, il frottait sa verge contre moi, elle ne tarda pas à grossir et déjà tout humide. De même, mes chairs se réveillaient, je commençais à mouiller, semblant toujours dormir. Sa main remonta sur mon ventre, se faisant caressante. Il attendit encore, son sexe souillant mon entrecuisse. Sans un mot, avec délicatesse, il remontait doucement mes jambes avec ses cuisses. Je tressaillis, il se stoppa. Il n’arrivait pas à entrer, son sexe trop petit ; ma position trop fermée.
    
    Par instinct, je me mis dans la position adéquate, feignant un étirement, et fis semblant de m’assoupir à nouveau. Il attendit encore, ne bougeant plus. Sa main redescendit sur mes fesses, les écartant suffisamment pour guider son sexe vers mon puits d’amour. Il entra doucement, lentement, et resta figé au bord, ressortant puis entrant de nouveau, s’immobilisant juste à l’entrée de mon vagin. C’était doux et agréable, ...
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