1. Dégradation d'une bourgeoise 4


    Datte: 08/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Cynthia127, Source: Hds

    ... et tout-à-coup une chaleur étrange m’envahit ; je commençai à haleter, puis à couiner ; une jouissance extrême se termina dans un long râle. Jamais de ma vie je n’avais eu cette sensation et lorsque dans un grognement il se vida en moi, je ne pouvais presque plus respirer. Il se retira brutalement, me retourna et m’ordonna de le nettoyer.
    
    Il se releva et se rhabilla, me laissant effondrer sur le sol en béton. A ce moment je réalisai que Georges était parti et que j’allais rester seule dans cette usine désaffectée, loin de la ville.
    
    - S’il vous plait Monsieur, ne partez pas sans moi.
    
    - J’ai payé pour te baiser, pas pour jouer le taxi. Bon… rhabilles-toi, on part dans deux minutes.
    
    Une fois encore, je paniquai ; où étaient mes vêtements. Je cherchai en vitesse dans la pénombre. Je trouvai ma jupe, mon chemisier, mes escarpins et mon sac, mais impossible de repérer mon soutien et mon string.
    
    - Alors, tu viens ou tu restes ici ; moi je file, tant pis pour toi.
    
    Je le suivis en courant. Nous roulâmes une bonne dizaine de minutes avant d’arriver dans la banlieue. Il s’arrêta à une station de tram.
    
    - Voilà ici tu descends et tu démerdes.
    
    En attendant l’arrivée du transport en commun, je fis le point. J’étais à moitié nue à une dizaine de kilomètres de chez moi, sans soutien, sans culotte avec un chemisier transparent qui laissait entrevoir ma nudité. Je marchais bizarrement, tant mes fesses me faisaient mal. Mes cheveux étaient encore mouillés de l’urine de ...
    ... mes tortionnaires. J’avais juste de quoi me payer le tram, donc je ne pouvais prendre un taxi, ni rentrer à pied à cause de la douleur.
    
    Heureusement un tram se présenta rapidement. En voulant m’asseoir, je m’aperçus que ma jupe était tâchée de sperme et d’un peu de sang. Je restai donc debout dans un coin, sans oser bouger. C’est que je sentais que de mon anus sortait une partie de la quantité de sperme du noir. Je serrai les cuisses, mais la semence coulait sur mes cuisses dénudées. Un voyageur s’en aperçut et me regarda d’un drôle d’œil. Je ne savais où me mettre tellement, j’étais honteuse, humiliée et salie.
    
    Lorsque j’arrivai chez moi, je jetai mes vêtements dans un coin et je restai une demi-heure sous la douche en pleurant. Je regagnai ma chambre et je vis avec stupéfaction que Gérard m’y attendait, nu, la queue dressée.
    
    - Alors on t’a dépucelé le cul…. Couche-toi sur le lit… je vais voir si c’est bien fait.
    
    - Pitié Maître j’ai si mal, laissez-moi ce soir…
    
    - J’ai dit : couchée sur le ventre
    
    Pleurant toujours, j’obéis contrainte et forcée, ne voulant pas ajouter le fouet à mon martyr.
    
    Gérard s’enfonça en moi sans ménagement, et jouit rapidement.
    
    - Voilà, j’ai donc une voie de plus. Je remercierai Mamadou de t’avoir si bien préparée. Passe une bonne nuit salope.
    
    Je vidai une demi bouteille de whisky pour tenter d’oublier ce que j’avais vécu. En y réfléchissant, je crois que ce qui m’avait le plus humiliée, c’est d’avoir joui en étant sodomisée. ...