1. Dégradation d'une bourgeoise 4


    Datte: 08/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Cynthia127, Source: Hds

    ... mettre à genoux, m’ordonna d’ouvrir la bouche et surtout de la garder ouverte. Presque aussitôt un jet sortit de son sexe et l’urine envahit ma bouche.
    
    - Bois et jusqu’à la dernière goutte.
    
    Le goût de l’urine me soulevait le cœur, mais je fus obligée d’obéir. Les autres se soulagèrent de leur urine sur mon visage. J’étais dégoulinante, honteuse et complètement avilie. Qu’avait-on fait de moi, une mère de famille respectable, BCBG, devenue en quelques mois contre mon gré (mais étais-ce vraiment contre mon gré) la dernière des putains livrée au premier venu.
    
    La sarabande continua ; ils voulaient profiter de leur heure. Tour à tour, ils vinrent vider leur semence dans mon vagin. J’étais pleine de sperme. Il inondait mes cuisses.
    
    - Bon maintenant qu’on s’est vidé les couilles, on t’attache pour le suivant.
    
    Mon cou, mes poignets et mes chevilles furent attachées à un poteau par des cordes rugueuses, ce qui donna l’idée à mes tortionnaires d’un passer une dans mon sexe et de l’attacher à la corde du cou, m’empêchant pratiquement de faire le moindre mouvement. De plus, la corde irritait douloureusement les lèvres de mon sexe. Je restai ainsi durant un temps qui me parut interminable. J’entendis un moteur de voiture, une porte qui claquait et des pas qui s’approchèrent de mon lieu de détention. Un énorme noir apparut dans l’embrasure de la porte ; il devait bien mesurer deux mètres et peser plus de 100 kgs.
    
    - Ah voilà la pute dont je dois déflorer le cul.
    
    Il se ...
    ... déshabilla et laissa apparaître un sexe gigantesque, à l’image de sa taille.
    
    Je tremblais de peur.
    
    - Monsieur, je vous en supplie, je vous paierai le double de ce que vous avez payé ; baisez-moi comme vous voulez ; fouettez-moi si vous voulez mais ne me sodomisez pas.
    
    - Dans des pays des putes comme toi se paient une fortune ; alors je t’ai eu pour pas cher ; tu ne t’imagines pas que je vais te laisser en paix. Commence par me sucer, truie. La seule pitié que j’aurai pour toi, c’est que je ne t’enculerai pas à sec…tu auras droit à du gel.
    
    Je pouvais à peine enfourner son sexe dans ma bouche. Je me dis qu’il allait me déchirer. Sa queue grossissait et avait presque la taille d’un concombre.
    
    - A genoux et vite.
    
    Il m’enduisit l’anus d’un produit gluant, y mit un doigt puis deux. Déjà la douleur s’emparait de moi. Je le suppliai en pleurant de m’épargner, de renoncer à me sodomiser. Tout ce que j’y gagnai, c’est une paire de gifles. Lorsque je sentis qu’il me pénétrait, j’essayai de lui échapper, mais il me tenait les hanches avec ses deux grosses mains. Je hurlai lorsque sa queue s’avança dans mon ventre. Cela sembla l’exciter davantage et insensible à la douleur qu’il me causait, il commencer à me marteler les fesses. Petit-à-petit, le mal s’atténua et fit place à un sentiment de chaleur. J’avais l’impression que son énorme sexe remontait dans mon ventre. Ses couilles frappaient contre mes fesses…. il se servit de moi durant de longues et interminables minutes ...