1. Les interviews de Sophie


    Datte: 08/02/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Jeannette la FDC, Source: Hds

    ... dames, je déboutonnais systématiquement ce dernier. C’était comme cela, j’avais toujours été pleine de bienveillance, je ne voulais surtout pas que des seins souffrent.
    
    Mais j’eus à peine le temps de penser à mes anciens actes de libération de nichons. Ma belle journaliste, Sophie de son prénom, me modelait comme une marionnette pour prendre les photos qu’elle voulait. Elle jouait avec mes jambes, les écartant, entre chaque clic, un petit peu plus encore. Je commençais à chauffer, ce qui me fit prendre part à son petit manège. Ancienne danseuse, je savais jouer de mon corps pour me rendre le plus sensuelle possible. Nous fîmes une série de photos toutes plus chaudes les unes que les autres. Elle finit par détacher mon haut et arrêta son regard sur ma poitrine. Elle me fit remarquer que j’avais des tetons gros et excitants, posa son appareil photo et vint s’assoir sur le transat à côté de moi. En un geste, elle tirait déjà sur mes deux mamelons, faisant rétrécir leurs aréoles au maximum et les faisant pointer comme jamais. Je ne pus retenir un gémissement, ce qui la fit pincer plus fort encore.
    
    Je posai alors ma main sur sa cuisse chaude, et commençais à la caresser. Elle se pencha sur moi, m’embrassa longuement. Je lui fourrai ma langue dans la bouche et la fit tournoyer avec délice, la mêlant à la sienne. Puis je lui embrassai, lui aspirai, lui léchai ses lèvres pulpeuses, rendant ses mains un peu plus folles encore…
    
    Nous étions bouillantes. Ma main sur sa ...
    ... cuisse était remontée jusqu’à trouver le fin tissu de son string. Longtemps, j’en effleurais du bout des doigts la dentelle, puis avec ma paume, je me mis à frotter, appuyer et frotter encore…je sentais rapidement l’effet escompté se produire : elle commença à fondre sous l’action de ma main, et se laissa aller, me tombant dans les bras. Elle oublia mes deux seins, et attrapa fermement le pied du transat, alors que son autre main vint écarter son string, me permettant de continuer mon massage spécial a même sa petite chatte.
    
    Pensant soudainement au voisin, je jetais un coup d’œil dans sa direction ; il se tenait debout. Il avait, pour la première fois depuis qu’il me matait, oublié qu’il n’était pas « invisible », comme il pensait l’être. D’habitude, c’était seulement sa tête que j’entrapercevais, ou plutôt ses gros yeux écarquillés. Cette fois ci, il était nu comme un ver, se tenait le sexe et semblait se branler tout doucement en nous observant. Je décidais alors de lui offrir le plus beau spectacle de sa vie. Je m’installai au fond du transat et fit s’assoir, devant moi, Sophie. Sa petite jupe remontée jusqu’au bassin, le string de travers, je ramenais alors son corps tout contre moi. Je me mis à frotter ma poitrine dans son dos, puis à deux mains, lui déboutonnai son chemisier. Je m’attardai alors sur ses seins, magnifiques, que je fis sortir de leur méchant soutien-gorge. Je les palpais avec délice, en lui embrassant le cou et la nuque, lui murmurant quelques mots à ...