1. Rencontre et expériences


    Datte: 19/02/2018, Catégories: fh, hh, fhh, telnet, photofilm, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, hsodo, couple+h, Auteur: Plumitif, Source: Revebebe

    ... Gilles et Sophie qui achevèrent ainsi de balayer les craintes que j’avais pu avoir. Tant bien que mal, je posais mon appareil devenu embarrassant sur la table de chevet toute proche pour éviter qu’il n’atterrisse par terre.
    
    Je nouais mes mains derrière la nuque de Sophie, rendant notre baiser presque fusionnel. Gilles, lui, massait mon sexe, caressait mes cuisses ou mes fesses puis de nouveau se consacrait à Sophie. Je me décidais à regret à rendre sa liberté à Sophie. Ne souhaitait-elle pas nous regarder Gilles et moi ?
    
    Mes mains donc se dénouèrent, abandonnant sa nuque pour se porter sur les mamelons de Gilles. Comme je l’avais deviné, ils étaient très réactifs, déjà durcis par les caresses de Sophie. Je roulai sur le côté et posai ma tête sur le torse de Gilles. Notre premier « tête à tête » avait été assez frénétique, nous étions avides de plaisirs nouveaux. Cette fois je savais que nous prendrions notre temps. Pendant un instant je songeais, amusé, que finalement le premier essai n’était pas le plus difficile : la soif de découvrir pouvait contrecarrer l’appréhension.
    
    La seconde fois, l’appréhension pouvait différer : il fallait faire au moins aussi bien. Et cette fois l’attrait de l’inconnu ne jouait plus en notre faveur. Mais à mon grand plaisir, il me semblait que nous nous en sortions plutôt bien. Gilles me tira de mes pensées en partant à l’assaut de ma boucle de ceinture. De ce méli-mélo de corps, la tâche était ardue et je vins à son secours. En fait ...
    ... j’ôtais tout bonnement mon pantalon. Puis estimant que je l’avais assez aidé je repris ma position contre lui. Ma bouche gourmande et curieuse parcourait son torse. Baisers papillonnants, légères morsures, petits bécots ou suçons, tout me semblait bon pour le sentir frémir. Sophie n’était d’ailleurs pas étrangère à tous les soupirs qui s’échappaient des lèvres de Gilles. Toujours à califourchon sur notre hôte, elle avait coincé le sexe tendu entre leurs deux bas-ventres et, d’un léger mouvement du bassin, le massait.
    
    On eut dit que Sophie lui faisait l’amour, lentement, sa jupe faisant un écrin soyeux qui préfigurait la douceur de son intimité. Je levai un peu la tête pour observer les réactions de Gilles. Les yeux mi-clos, le souffle court, il soupirait d’aise. Parfois le soupir devait râle lorsque Sophie accentuait son mouvement. Et il faisait tout pour que le désir soit contagieux. Consciemment ou non, il calquait les mouvements de sa main sur mon sexe sur ceux de Sophie. Et lui aussi repoussait le moment où nos peaux entreraient en contact et c’est donc à travers le tissu de mon caleçon qu’il me masturbait.
    
    Ce petit jeu de cache-cache avec le plaisir dura un moment. Gilles soupirait de plus en plus fort, sa main se crispait parfois un peu plus, me transmettant de très bonnes vibrations.
    
    Puis Sophie le libéra de son étreinte. Une tache maculait le devant de sa jupe. Jolie décoration pour le retour en métro…
    
    Gilles ouvrit les yeux, semblant émerger d’un rêve.
    
    — ...
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