Rencontre et expériences
Datte: 19/02/2018,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
telnet,
photofilm,
Oral
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
hsodo,
couple+h,
Auteur: Plumitif, Source: Revebebe
... l’autre, les ramenant sur sa poitrine.
— Caresse-toi.
Elle resta d’abord immobile, puis lorsque je fis glisser mes mains vers son ventre elle comprit mon intention : sentir quatre mains sur elle. Lorsque je la vis faire, rouler ses mamelons entre ses doigts, je savais que j’avais presque gagné. Jamais elle n’avait accepté que je la voie agir ainsi et cette première me montrait à quel point l’idée d’un trio lui plaisait.
Je continuais néanmoins à agir le plus lentement possible. Après tout, j’avais la nuit devant moi.
— Tu sens nos mains, comme elles sont douces ? Comme elles ont envie de te découvrir, d’explorer chaque parcelle de ton corps ?
Je joignais le geste à la parole, la couvrant de caresses. J’aimais son corps, le grain de sa peau. Parfois seul un doigt restait en contact avec elle, dessinant d’étranges arabesques. Parfois au contraire c’est toute ma main qui prenait possession de son corps.
Elle ne me répondait pas, fermant les yeux comme pour ne plus sentir mon regard interrogateur et ne pas devoir répondre à mes questions. Mais ses mains parlaient pour elle. Son corps entier parlait pour elle car lorsque mes doigts glissèrent sur sa toison elle ouvrit le compas de ses jambes en soupirant.
Malgré mes bonnes résolutions de patience, je commençais à avoir très faim d’elle et son abandon ne pouvait me pousser qu’à prendre possession de son corps. D’abord ce fut sur ses mamelons dressés que ma bouche affamée se jeta. Là encore elle me surprit en ...
... appuyant sur ma tête de sa main devenue libre. Jamais elle n’avait manifesté aussi clairement son désir.
Je la mordillais, l’embrassais la léchais tour à tour, pendant que mes doigts fourrageaient dans les poils de son pubis. Je luttais contre le désir d’explorer sa faille sans attendre. Aussi j’entrepris de caresser l’intérieur de ses cuisses. Sophie soupirait d’aise, se tendant à chaque fois que mes doigts s’approchaient de ses lèvres ou lorsque ma bouche se faisait trop pressante. Puis lentement j’amorçai une descente qui me conduisit à lécher la peau de son ventre, à embrasser son nombril.
N’y tenant plus je me décidai à franchir le Rubicon et ma langue s’empara de son bouton.
Rapidement les soupirs firent place à des gémissements. Je m’attardai longuement sur ce petit bouton source de tant de plaisirs partagés. Car la sentir vibrer sous ma langue me faisait vibrer moi aussi. Mon sexe n’était qu’une veine palpitante, presque douloureuse. Il y avait bien longtemps que j’avais éprouvé un tel désir. Mais il n’était pas encore temps de céder. J’avais soif de plaisir et j’avais à portée de bouche la plus belle des sources pour étancher cette soif. Abandonnant le bouton de Sophie, j’allai boire sa liqueur d’amour. Mes doigts voulurent bien sûr ne rien rater de ces festivités et pendant que je me désaltérais ils allèrent sonder le puits. Là, les gémissements se transformèrent en cris et sous l’emprise du plaisir, Sophie fut parcourue de soubresauts.
J’atténuai mes ...