1. Pute et gazelle


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... bronzage. Aussi fut-ce un Moïse au visage ahuri que je vis émerger dans un angle du balcon. Il balbutiait et roulait des yeux sur mon corps nu et offert. Tout sourire je l'avisais qu'en fait j'avais entre temps réparé le vasistas. Prévenant sa fuite, je me levais et jetant hâtivement un paréo sur moi, je l'invitais à siroter avec moi un délicieux petit punch. Pouvait-il refuser raisonnablement à une cliente ? Je demandais s'il y avait des choses peu loin à visiter et si on pouvait danser ici la biguine.
    
    Il mit du temps à se décontracter. Le rhum ne fut pas pour rien dans cet effet. Il était du genre timide devant recourir à l'alcool. Mon paréo masquait peu de ma personne et mon regard signifiait assez qu'il me plaisait. Je mis d'autorité ma main sur sa cuisse. J'eus droit à un sourire éclatant : grand soleil dans son visage d'ébène. En peu de temps je fus sur ses genoux, collant mes lèvres aux siennes. Je perçus sous ma fesse durcir son sexe . Je réveillais un volcan. Le colosse m'enleva dans ses bras m'emportant jusqu'à ma couche où s'inaugurèrent nos ébats.
    
    Réel et fantasme se mêlèrent. Sa queue n'était point en dessous de la réputation des nègres. Je recueillis avec délectation ce fruit lourd dans ma bouche. Je le savourais. J'ai toujours affectionné la fellation. On ne réussit que ce que l'on aime. Je sentais mon Moïse fondre et défaillir en moi. Je dus rapidement le branler puis le revigorer. J'escomptais être foutue impeccablement par sa bite. Je ne fus pas déçu. ...
    ... Mon téléphone vibra. Il était vraisemblable que ce dut être mon mari. Il ne me déplaisait pas que cet imbécile appelât tandis que je passais à cet instant à la casserole.
    
    Cela dura une heure. Cette débauche m'avait du coup délesté de ma tension et de mon chagrin. Je renaissais entre ces bras mâles. Moise m'assura qu'il repasserait dès que possible. Quoiqu'il en soit il fut convenu que le soir il m’emmènerait au dancing. Le déjeuner fut light. Je décidais de poursuivre sieste et bronzage à la plage. Je me dénouais. Mes sens célébraient la joie païenne. J'eus voulu davantage que ce séjour. Je me jurais de revenir ici un jour. Peu après un parisien ici en goguette s'enquit à me draguer. Monsieur voulait sûrement me sauter.
    
    Je le trouvais plutôt con et quelconque. Cependant je n'avais renoncé aux bêtises. Bref et comme pour me débarrasser je lui soufflais à l'oreille mon numéro de chambre et qu'il vint me rejoindre dans une heure. Il me baisât sans autre forme de procès. Peu de mots. Beaucoup d'actes. Avec une rare sauvagerie il disposa de chacun de mes trous. Il est vrai que Moïse n’avait daigné m'enculer, chose que j’affectionnais pourtant. Henri mon parisien s'invitât de lui-même et me laissa pantelante toute au travers du lit. Il partait demain pour Paris. Après une tape sur mon cul, il disparut.
    
    La biguine assortie d’autres danses m’emmena jusqu'au bout de la nuit. Je perdis de vue mon géant Moise. J’échouais en d'autres bras. Mon corps étant pétri de toutes parts. ...