1. Pute et gazelle


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    Il n'était pas prévu que notre avion eût un incident et fut détourné sur la Martinique. Bien vite il fut improvisé et proposé un autre vol tard dans la nuit et qui devait transiter sur Nantes. Il ne comportait pas de place pour tous. Certains se ruèrent dessus cependant. Je fus de ceux qui acceptèrent l'autre proposition de demeurer trois nuits à l'hôtel tous frais payés par la compagnie. Je tins à expliquer à mon mari que la situation m'avait été imposée et que mon patron en même temps m'avait opportunément missionné auprès d'un de nos clients sur l'île. Tout ceci n'était que fable.
    
    J'étais familière de ce genre de cachotteries. Il ne me déplaisait pas en plein automne de me brûler la peau et d’aller piquer une tête dans la mer des Caraïbes. De précédentes vacances nous avaient fait découvrir l'autre île sœur : la Guadeloupe. Je pris comme un signe du destin de pouvoir goûter à cet île des fleurs, surnom de la Martinique. En regard des autochtones et de quelques touristes, j'eus honte de ma blancheur. Aussi tins-je à me jeter sous le soleil. Je ne m'en procurais pas moins d'huile solaire. Je dus subir la drague du vendeur. Quelques autres blacks tournaient autour de moi.
    
    J'étais partie il y a dix jours sur une dispute avec mon mari. Je l'avais encore en travers. Des idées de vengeance me trottaient dans la tête. Le non-dit de la querelle fut que nous nous soupçonnions l'un l'autre d'avoir des liaisons. Vraisemblablement notre couple s'usait et battait de l'aile ...
    ... comme nombre. J'escomptais mettre ces quelques jours à contribution pour réfléchir. Devais-je pour autant ne pas m'amuser ? J'ai toujours réprouvé les rigueurs du cloître. La part diabolique de mon être prenait la tête des opérations. Mes sens me gouvernent souvent et sont irrésistibles.
    
    Des plus matinales, je tins à affronter les vagues. La plage était à peu de pas de l'hôtel. Cela acheva de m'ouvrir l’appétit. Je dévorais mon petit déjeuner tropical. Je fis en sorte d'allumer sans vergogne autour de moi. Le personnel masculin sut que j'étais open. Celui-ci devait être familier de mon genre de salope. Je n'avais cure du conjoint perdu dans la petite Europe. De toute façon il devait se consoler là-bas avec quelque maîtresse. Je vins à sympathiser avec Moïse, un,garçon d'étage qui à l'instant passait l’aspirateur dans les couloirs.
    
    Il était beau gosse tout noir d'ébène. Il avait un physique de géant. Il en imposait et cependant avait une voix douce, il vous donnait envie de câliner. Perfide, j'inventai un conte comme quoi mon vasistas demeurait bloquée. Je sollicitais qu'il me le réparât. Il m'assura passer peu après son service. Par la suite, j'étais complètement nue sur un matelas jeté à même le sol du balcon. Je n'avais cure que dans un immeuble n face on put me voir avec de bonnes jumelles. De toute façon je goûte qu'on rende hommage ainsi à la qualité d'un cul, une création de Dieu.
    
    A dessein n’avais-je pas fermé la porte. Je ne voulais en rien déranger ma pose ...
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