1. Parties de jambes en l'air avec une Miss (1)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: burton195, Source: Xstory

    ... temps des regards lourds de sens, je ne peux m’empêcher de sourire. Il faut dire aussi qu’avec son petit short en jean, la voir dodeliner son joli fessier n’est pas désagréable et, quand elle passe ses mains dans sa belle crinière rousse, elle déborde de sensualité. Bref, l’espace d’un instant, j’ai l’impression de ne voir qu’elle au milieu de la piste, mais je suis rapidement tirée de mes pensées quand mon oncle m’attrape par la main pour m’inviter dans une danse endiablée.
    
    Au bout d’un moment, ma mère va baisser le son de la musique et, après nous être resservis en sangria, nous passons à table pour déguster la paella. Nous nous régalons autour de ce festin et, une fois que nos assiettes sont vides, c’est le moment tant attendu du dessert. Nous nous éclipsons tous à gauche et à droite, laissant mes parents en tête-à-tête, à table et, alors que certains reviennent avec les bras chargés de cadeaux pour notre mère, Anaïs et moi revenons avec le gâteau d’anniversaire que nous posons à table juste devant elle, ainsi que des bouteilles de bulles que nos oncles se chargent de déboucher.
    
    Une fois les bougies soufflées, les cadeaux ouverts et les remerciements effectués, nous trinquons pour la énième fois de la journée, et nous dégustons ce bon gâteau. A plusieurs reprises, je croise le regard de Romane qui se trouve juste devant moi, comme si elle me regardait manger discrètement et, à chaque fois, elle m’adresse un sourire gêné avant de se replonger dans mon assiette. ...
    ... Ne sachant comment réagir face à ce comportement, je fais comme si de rien n’était.
    
    Lorsque le repas se termine, il est déjà pas loin de minuit et demi et, très rapidement, la piste de danse rouvre ses portes. Même si nous sommes repus après ce bon repas, quasiment tout le monde retourne danser; certains, avec une coupe de champagne à la main; d’autres comme moi, avec de la sangria. Seulement, alors que mes cousins improvisent à nouveau une chorégraphie endiablée sur une chanson de Claude François, je reçois un coup de coude maladroit de la part de l’un d’eux, et le contenu de mon verre se répand aussitôt sur mon chemisier.
    
    — Oh ! Merde...
    
    Aussitôt, mon cousin se confond en excuse et va me chercher du sopalin pour que je puisse me nettoyer, mais trop tard, le mal est fait.
    
    — Je suis désolé, me dit mon cousin, tout penaud.
    
    — C’est pas grave, t’en fais pas, je vais aller en mettre un autre...
    
    Après une nouvelle salve d’excuses, je quitte le groupe et me dirige vers ma tente qui se trouve au fond du jardin, bien à l’écart des autres. Je me débarrasse rapidement de mon chemisier sale que j’étends maladroitement sur la branche la plus basse d’un arbre puis, une fois en petite tenue, je me glisse dans ma tente et referme derrière moi. Une fois que je suis assise sur mon lit, je prends mon sac de voyage dans lequel j’ai entassé quelques affaires pour le week-end puis, alors que j’ai du mal à choisir un nouveau haut, une voix retentit dehors, à quelques mètres de ...
«12...5678»