Dépucelage anal de Célia, ça dérape ! (2)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: votreservice, Source: Xstory
... très vite. Monsieur m’enfile la canule dans mon fondement distendu, lève le broc en hauteur et mon ventre se remplit à la vitesse grand V. C’est très bizarre. Une fois le broc vide :
— Bien, tu gardes ça dans ton ventre, contracte bien, car rien ne doit sortir. Je reviens dans une demi-heure.
Une demi-heure plus tard, le voici, nu ! Il a un engin énorme au repos ! Il m’attrape sous les aisselles et m’aide à me relever pour m’asseoir sur la toilette.
— Voilà, c’est bien, tu as tout gardé. Au troisième top, tu pourras tout relâcher. Un ... Deux... Trois ...
Quel soulagement !
— Regarde bien ce que tu as libéré. Que tu comprennes à quel point cela peut être désagréable de sodomiser sans passer par cet exercice. Essuie tout ça et une petite douche. Nous recommençons l’opération deux fois, deux lavements d’un litre et demi, deux attentes d’une demi-heure, deux vidages, deux douches. Puis, tu remettras toi-même ton anus picket et tes boules de geisha.
... / ...
— Il est maintenant 17h00, nous avons 2h45 pour préparer l’appartement. Tu vas commencer par faire le ménage partout. Puis tu dresseras la table pour trois couverts, prépareras la table basse pour l’apéritif. Tu n’as que deux heures, car il te faudra t’habiller après. Commence par me resservir une bière.
Monsieur est nu dans le canapé, regardant la télévision, pendant que je m’affaire au ménage. De temps en temps, il me prend en photo sous tous les angles. Et cela, jusqu’à que j’ai fini mes tâches. La ...
... table est bien mise et décorée, l’apéritif est prêt et il est tout juste 19h00.
— Tu as 10 minutes pour prendre une douche. Et reviens ici.
— Tu vas mettre les bas blancs achetés tout à l’heure, et les escarpins à talons aiguille.
Une fois fait, de nouvelles photos, y compris sur le lit conjugal. Monsieur Henri, toujours nu, ne bande pourtant pas.
Enfin, il sort la jupe en cuir noir du sac, me la présente et me l’attache d’un bouton pression, puis il la tourne et finit de la boutonner dans le dos. La fermeture - je le sens - suit le dessin de ma raie culière. Il sort de sa mallette un bijou de sein qu’il positionne sur mon sein droit emprisonnant mon téton dardé. Enfin, il me tend le chemisier en dentelle transparente blanche, que j’enfile et boutonne.
C’est à ce moment que ça sonne à la porte d’entrée.
— Va ouvrir, prends en charge la commande et appelle-moi.
Et me revoilà à être obligée de m’exhiber devant un livreur ! Je prends les paquets et j’appelle Monsieur.
Il arrive toujours nu avec un billet de cent euros, le livreur rend la monnaie rouge comme une pivoine, et Monsieur ferme la porte.
— Va à la cuisine et prépare tout en plats bien ordonnés. Dans moins d’un quart d’heure, John arrive.
Aussitôt dit, aussitôt fait et quand je reviens au salon, Monsieur est rhabillé de son costume noir. Nous n’attendons pas longtemps l’arrivée de John.
— Quand John arrivera, tu iras vers lui, tu l’embrasseras très amoureusement, tu lui mettras un doigt ...