Dépucelage anal de Célia, ça dérape ! (2)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: votreservice, Source: Xstory
Le dépucelage anal de Célia, ça dérape ! (Chap II)
En résumé du Chap. I : Célia, suite aux demandes de son compagnon John, contacte un « Guide », Monsieur Henri, pour l’amener à un dépucelage anal en douceur. Après avoir été exhibée en sex-shop, puis avoir fait une fellation à un transsexuel, Célia et Monsieur Henri rentrent à l’appartement ; John, comme convenu, est toujours à son travail et ne rentrera pas avant 19h45.
— Ne t’inquiète pas Célia, ce n’était qu’une mise en condition pour exacerber tes sens. Je parie que tu es si troublée que tu es inondée. Et je pense que tu es prête à continuer, à me suivre dans les recommandations pour te préparer pour ce soir. Le veux-tu ?
— Oui Monsieur, je le veux .........
— Pour bien faire les choses, il faut que tu comprennes, mais avant, nous allons prendre quelques photos souvenirs. Mets-toi à quatre pattes !
Je rappelle que je suis en short de jean ultra-mini qui me rentre dans les deux raies sans culotte, découvrant plus de la moitié des fesses et avec un anus picket, un tee-shirt blanc d’une taille trop petite et donc ultra-moulant sur mes petits seins dont les tétons sont emprisonnés par une pince.
— Marche jusqu’à la table basse.
— Monte sur la table basse toujours à quatre pattes.
— Saute dans le canapé.
— Descends et va à la cuisine. As-tu de la bière au frigo ?
— Va m’en servir une, toujours à quatre pattes.
J’aime autant vous dire que ce fut loin d’être facile, mais j’y suis arrivée.
— ...
... Rejoins votre chambre.
— Monte sur le lit et déshabille-toi.
Une fois sur le lit, je commence par enlever le tee-shirt, puis suis difficilement le micro short. Je commence à prendre une des deux pinces, et sous confirmation du regard de Monsieur Henri, je l’enlève ! Whaou ! La douleur est presque plus dure à enlever qu’à mettre. J’enlève la seconde dans la foulée, puis les boules de geisha. Enfin, il me reste l’anus picket.
— Tourne tes fesses vers moi et enlève-le doucement.
Ce que je m’empresse de faire.
— Retourne-toi vers moi et suce-le comme si tu faisais une fellation à ton John chéri.
— Mais il n’est pas là.
— On avait dit : pas de discussions ! Aucune hésitation à mes ordres.
— Bien, Monsieur Henri.
Je dois dire que c’est avec une dose de dégoût que je m’exécute. Le goût de la chose n’est pas très agréable. L’objet est décoré d’une pierre rouge.
— Ce n’est pas très bon tes sécrétions Célia ?
— Non, Monsieur, pas très bon.
— Tu comprends donc que si John met sa bite là-dedans et que tu le suces après, ce sera pareil ?
— Oui Monsieur.
— Il faut donc nettoyer tout ça, nous avons quelques heures pour faire les trois lavements nécessaires. Hop, aux toilettes à quatre pattes devant le w.c., cul tourné vers la cuvette.
Comme j’en ai pris l’habitude, j’obéis, fonce et me positionne. J’entends Monsieur faire couler de l’eau à la salle d’eau et il revient avec un drôle d’attirail. Un broc relié à un tuyau souple et long. Je comprends ...