Laina - Histoires de Sexe

Laina

... jeu dure une éternité et je ne m’en lasse pas. Je ronronne, gémis de plaisir.

Subitement, elle rejette ses cheveux en arrière, me regarde, mutine, de ses grands yeux au bleu profond. Déroule son col sur le bas de son visage. Le mohair recouvre sa bouche, son nez, jusqu’à ses adorables petites oreilles.

Entre ses deux paumes, elles aussi enveloppées de mohair, elle emprisonne mon sexe et effectue un mouvement de bas en haut et inversement. Je me cambre de plaisir, allant à la rencontre de ses mains. Oh oui ! Huuuummm ! Je ne m’exprime plus que par onomatopées.

C’est ce moment qu’elle choisit pour poser sa bouche sur mon gland. Puis, imperceptiblement, celui-ci coulisse entre ses lèvres entrouvertes. À travers le mohair, je sens son petit bout de langue pointue qui titille mon frein. J’halète, je crie mon plaisir.

De petits mouvements de sa tête m’indiquent qu’elle me gratifie d’une mini fellation, uniquement du gland et c’est merveilleux. Comme j’aime !

Pendant que sa main gauche, toujours « gantée » de mohair, coulisse sur ma hampe bien dure, sa main droite est revenue sur mes bourses. Puis descends lentement sur mon périnée avant de se hasarder plus loin et caresser, en cercles concentriques, mon petit plissé qui palpite ...

... d’aise.

Elle me connaît bien. Elle sait que je suis au bord de l’explosion et, tel un escargot s’extrayant de sa coquille, je sens son index sortir de la manche de mohair et pointer ma cible circulaire, avec précision.

Lentement, mais fermement, il se fraye un passage. Il me pénètre, m’ouvre, s’aventure encore plus profondément et débute un va-et-vient rotatif du meilleur effet. Un deuxième doigt le rejoint.

Le souffle coupé, dans véritable rugissement, j’explose entre les lèvres de ma chérie qui ne s’écarte pas, au contraire, elle aspire ma semence au travers les mailles du col roulé, jusqu’à la dernière goutte.

Sans jeu de mots, je suis vidé, épuisé. Je rampe sur le lit, après avoir repris mes esprits, afin, par reptations, d’ôter mon peignoir et de me glisser sous les draps.

Laina, fait passer sa robe par-dessus sa tête et, nue, vient se lover dans mes bras, après avoir éteint la petite lumière d’ambiance.

Un dernier bisou au goût de sperme, elle pose sa tête au creux de mon épaule pour s’endormir.

Merveilleusement bien, heureux, j’ai un grand frisson de bonheur avant de sombrer dans le sommeil.

Un dernier mot :

— Je t’aime.

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Chapitre 2

À venir, si les lecteurs et lectrices apprécient ce premier.