Laina - Histoires de Sexe

Laina

... Nous devisons et échangeons sur le film que nous venons de visionner.

Souvent c’est Laina qui choisit un film, ou un spectacle, et me le propose. Si d’aventure il venait à me décevoir, m’ennuyer ou carrément me déplaire, Laina sait que, tôt ou tard, elle aura un gage et une épreuve à subir, mais c’est une autre histoire. Ce ne sera pas le cas pour ce soir. Ce film m’a vraiment intéressé.

Après nous être sustentés, discrètement, je me lève et me dirige vers la caisse afin de régler l’addition, tout en laissant un pourboire au garçon. Je reviens à notre table, j’aide Laina à enfiler son blouson et nous quittons les lieux, satisfaits.

— Bonsoir tout le monde, et à la prochaine.

Comme à l’aller, au retour je la tiens toujours par la taille. Avec, à nouveau, le plaisir de sentir, sous ma main droite, son corps tiède, voluptueux, la laine et de profiter de la douceur de cette dernière. De temps à autre, ma main droite s’égare sur sa fesse et flatte sa croupe rebondie ayant droit, à chaque fois, à son regard désapprobateur. « Chéri, on pourrait nous voir ».

En arrivant à la maison, enfin c’est une façon de dire, car nous sommes en appartement, Laina me demande, comme d’habitude, d’aller dans la salle d’eau le premier afin d’y effectuer mes ablutions pendant qu’elle se démaquille. Je m’exécute, ce que femme veut, homme fait.

Après m’être déshabillé prestement, brossé les dents, pris une douche rapide et bien séché, j’enfile mon grand peignoir de mohair bleu ciel. ...

... En le nouant, je rejoins notre chambre.

Laina a défait son chignon « banane », ôté ses bijoux, ses bottes, ses bas… Ses longs cheveux blonds ondulent maintenant sur ses épaules et jusqu’au bas de son dos. J’apprécie sa chevelure, c’est plus féminin et tellement sensuel.

Elle porte toujours sa robe de mohair noir. Qu’elle est belle et désirable !

Arrivé devant le lit, elle s’approche de moi et m’embrasse voluptueusement. Dénouant ma ceinture, subrepticement elle me pousse sur le lit. Je tombe à la renverse, le peignoir grand ouvert sur ma nudité, les fesses au bord du matelas.

— Toi, je vais te rendre la monnaie de ta pièce, me dit-elle avec son sourire rieur que j’aime tant.

Prenant appui sur mes cuisses, elle les écarte et s’agenouille entre elles. Puis, baissant la tête, elle ramène sa somptueuse parure blonde sur son visage et l’étale sur mon ventre et mon sexe. Délicatement, avec douceur, en se reculant, ses cheveux me câlinent, s’écartent autour de ma verge qui s’érige. Elle renouvelle plusieurs fois cette caresse divine. Mon pieu se dresse entre ses cheveux. Elle les entoure autour et reflue à nouveau afin qu’ils se déliassent tout en me prodiguant mille voluptés. C’est divin.

Dans le même temps, elle tire sur ses manches afin que le mohair recouvre ses mains, qu’ensuite elle promène sur mon torse en s’attardant sur mes tétons, que j’ai aussi d’hypersensibles, sur mon ventre, mes cuisses, l’aine… Elle enveloppe doucement mes bourses et les cajole. Son ...