1. Bienvenue dans la famille


    Datte: 06/02/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, freresoeur, vidéox, 69, fgode, fist, pénétratio, fsodo, glaçon, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... suis pointée dans sa chambre encore plus à poil que vous, vu que j’avais pas gardé mes pompes. Quand il est entré, je lui donné un patin d’enfer. Malgré ça, c’était pas gagné : il a encore discuté, mais j’ai quand même fini la nuit dans son lit.
    
    En parlant, Julie se rend compte qu’à quelques détails près, c’est la vérité.
    
    — Il a discuté ?
    — Oui. Il a dit que je suis trop jeune et que comme je ressemble vachement à ma cousine, ça le troublait et tout ça.
    
    Catherine est littéralement stupéfiée ; et Julie, qui s’en rend compte, jubile alors qu’elle se prépare à l’estocade.
    
    — Et ça lui posait un problème, cette ressemblance ?
    — Faut vous dire il se l’est faite.
    — Ah ! Il baise aussi votre cousine… et… c’est elle qui vous a dit que c’était un bon coup ?
    
    Avant de répondre, Julie retire son tablier comme pour se dépouiller du rôle de la femme de ménage et apparaître dans la robe rouge qu’elle avait achetée le matin même pour faire une surprise à Bernard. Catherine peut alors constater que son interlocutrice, tout comme elle, avait l’intention d’accueillir celui-ci avec le minimum de vêtements, puisque visiblement cette robe rouge fort moulante et vraiment très mini est le seul qu’elle porte
    
    — Non, réplique Julie reprenant un ton plus normal, il faisait l’amour avec ma cousine. Mais elle ne m’a rien dit, car je ne l’ai pas connue. Comme vous, elle devait l’épouser, mais elle s’est tuée dans un accident de voiture.
    — Ariane ! lance Catherine qui connaît ...
    ... l’histoire.
    — Il vous en a parlé ? Quand j’ai rencontré Bernard, je n’ai pas été longue à comprendre pourquoi Ariane s’est tant battue pour lui. Aujourd’hui, c’est moi qu’il doit épouser. D’ailleurs, à ce sujet, à partir de maintenant quand vous serez de passage en France, il faudra que vous trouviez à vous faire sauter par quelqu’un d’autre – ou même quelques autres – si ça vous chante.
    
    En entendant ça, Catherine saute sur ses pieds en sifflant :
    
    — Et tu crois que je vais gober ça ? Que je vais te laisser le champ libre comme ça sur ta bonne mine ? Qu’il t’ait sautée, je veux bien le croire ; que tu y aies pris goût, aussi ; que tu veuilles le garder pour toi, je n’en doute pas. Pour le reste …
    — Pourtant, il faudra t’y faire. Tu as raté le coche. Si tu aimes les ex, tu n’as qu’à retourner avec ton Américain. Allez ! Maintenant, tu remballes la marchandise et tu dégages !
    — C’est toi qui va dégager. Quand Bernard arrivera, je n’aurai pas de temps à perdre en discussions oiseuses. Allez, tiens, je vais être généreuse : demain, je reprends l’avion pour la Nouvelle-Zélande. Tu as jusqu’à mon retour dans quinze jours pour te faire tringler tout ton saoul. Après, si j’aperçois le bout de ton petit museau d’intrigante, je te fais déguerpir à coups de pompe dans le cul vite fait.
    
    Le ton de la discussion ainsi engagée monte rapidement. Elles sont comme deux chiennes se disputant un os, en montrant les crocs. Puis les noms d’oiseaux volent ; ce qui serait normal pour des oiseaux ...
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