1. Bienvenue dans la famille


    Datte: 06/02/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, freresoeur, vidéox, 69, fgode, fist, pénétratio, fsodo, glaçon, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent : Une rencontre dans le métro et une étrange ressemblance ont bouleversé les vies de Julie et Bernard. Malgréa priori et passif familial, ils ont été attirés l’un par l’autre.
    
    Le lundi, Julie reprend les cours. À l’heure du repas, son téléphone sonne. Elle décroche en pensant à Bernard, mais c’est sa cousine au bout du fil qui veut lui confier qu’elle a suivi son conseil le soir même et demandé à Ronan de l’enculer. Celui-ci a été aussi surpris que ravi. Elle raconte que si l’opération n’a pas été très agréable, ça n’a pas été non plus catastrophique. Ronan s’est montré très doux et patient. Il a bien préparé le terrain avec ses doigts et du gel avant de passer à l’action. Le suppositoire a été un peu dur à avaler, mais maintenant elle n’a quasiment plus aucune gêne. Elle va attendre un ou deux jours avant de faire une nouvelle tentative. Elle ajoute en gloussant :
    
    — Ce qui me fait drôle maintenant, c’est de me dire que je suis une enculée et, circonstance aggravante, non seulement je n’en ai aucun regret, mais en plus j’ai la ferme intention de récidiver.
    — Bienvenue au club !
    
    Les deux cousines papotent encore un peu ; mais Julie, attablée avec d’autres étudiants, ne peut parler librement.
    
    Le mercredi soir, elle rejoint son studio. On sonne à la porte : c’est Marc qui vient pour faire la paix et arrondir les angles. Cela leur était déjà arrivé de se quereller. Certaines fois, elle avait elle-même fait les premier pas pour la ...
    ... réconciliation. Une partie de baise, que quelques jours d’abstinence rendaient encore plus forte, la scellant. Des fois même, ces disputes n’étaient presque que des prétextes pour mieux se retrouver. Mais aujourd’hui, c’est différent : il n’y aura pas de réconciliation, ni de retrouvailles sur l’oreiller. Julie le fait malgré tout entrer, ne voulant pas donner le spectacle d’une explication peut-être orageuse aux voisins. Marc s’énerve en effet, incrédule quant à la fin de leur relation. Elle finit par lui dire :
    
    — Tu devrais comprendre : c’est toi qui m’as donné l’idée.
    — Quelle idée ?
    — Tu ne te rappelles pas ? Tu m’avais dit que j’avais trouvé un bon filon ; eh bien, pendant la semaine écoulée, j’ai conforté mes positions. Il a apprécié mes prestations… et moi les siennes aussi, d’ailleurs ; je ne parle pas de ses compétences professionnelles ni de son carnet d’adresses. Mais je ne sais pas si je suis une aussi bonne baiseuse que ma cousine Ariane : il ne m’a rien dit à ce sujet.
    
    Marc ne la croit pas :
    
    — Excuse-moi. J’ai été maladroit.
    — Tu n’as pas à t’excuser d’avoir eu raison.
    — Arrête, ce n’est pas drôle.
    — Je ne cherche pas à être drôle : je te dis ce qui est. Tu étais dans le vrai – enfin pas à cent pour cent – car si je baise avec lui, ce n’est pas pour ma carrière ; c’est parce qu’il me plaît, que j’ai compris pourquoi ma cousine s’est battue bec et ongles pour lui.
    — Ça va, j’ai compris la leçon.
    — Mais tu ne veux pas entendre ce que je dis.
    — C’est pas ...
«1234...25»