1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (5)


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... je prends le soutien-gorge et le tanga et les lui passe. Pile-poil la bonne taille. Elle se touche les seins. Les tétons pointent. Je lui mets la robe, youpi ! Elle est transformée, on lui donnerait tout au plus 60 ans.
    
    On repart chez elle en marchant vite pour que personne ne nous remarque. Une fois chez elle, elle se regarde, s’admire en tournant sur elle-même devant le miroir de l’entrée. Elle est belle, la petite vieille.
    
    Elle s’approche de moi et me dépose un bisou sur mes lèvres. Je retiens sa tête et lui roule un patin bien baveux. On se sépare ? Non, on file chez moi.
    
    Mon chéri est sous la douche et comme à son habitude, sa porte est restée ouverte. Je pousse doucement Hélène devant moi. Elle reluque directement son sexe. Il ne peut pas nous voir, il se savonne la tête. On quitte ce joli spectacle. On s’installe à la terrasse avec un petit Martini. Elle me félicite pour la beauté de ma terrasse.
    
    Quand mon chéri revient, nu, forcément. Il bloque.
    
    — Tu aurais pu me dire que tu n’étais pas seul. Bonjour Madame.
    
    La dame se lève et se retourne face à lui. Elle se pince les lèvres, en le voyant nu. Il est ébahi. Elle s’approche de lui et lui fait la bise en posant sa main sur son sexe.
    
    — C’est doux et c’est mieux que les poils qui vous gêneraient. Allez, n’ayez pas peur tous les deux. Faites comme si je n’étais pas là.
    
    Ils s’embrassent d’un baiser tendre, au début, qui se transforme vite en un baiser digne des stars du porno. Il fait glisser la ...
    ... fermeture de la robe d’Hélène et la lui enlève. Elle est à moitié nue devant mon mec qui bande comme un étalon. Elle ne ferme pas les yeux, l’expérience parle. Elle lui caresse le dos, les fesses. Ils sont beaux à voir.
    
    — Hum, c’est doux, dit-elle en me regardant, j’aime.
    
    — Profites-en avant que je ne vienne vous rejoindre.
    
    Elle a compris et s’agenouille devant le rostre de ma grenouille. Elle lui lèche et lui gobe les couilles sans douceur. Il faut que je regarde et apprenne, elle a l’expérience qui me manque encore. Elle remonte le long de la hampe en salivant dessus comme une chienne, joue avec son frein et son méat. Olivier apprécie cette caresse buccale, surtout administrée par une septuagénaire. Elle le pompe directement en gorge profonde sans aucun relent. La bave coule sur les couilles de mon amant. Elle y va fort, les mains sur les fesses d’Olivier. Elle est en apnée, elle est toute rouge. Toutes ces années de frustrations sont en train de devenir un souvenir. Elle arrête et se met debout, en appuis sur ses bras.
    
    — Vas-y, mon salop, défonce-moi comme la truie qui te sert de copine.
    
    Là, elle l’a énervé. Il l’embroche violemment. Son pubis claque contre ses fesses. Elle jouit de longues, lançant des mots orduriers, et salaces à l’encontre de notre couple.
    
    — Vous n’êtes que des pervers, des dépravés. BAISE-MOI FORT COMME UNE CHIENNE. AAAAHHH OUI, JE SENS TON JUS.
    
    Elle s’affale sur la table. Elle reprend difficilement son souffle. Elle me sourit, je ...