La Révélation de Sophie (6)
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... les hanches et, maintenant, les cuisses charnues, d’ailleurs, à ce propos, le cuir devient un peu plus autoritaire. Le claquement provoque un tressaillement des chairs de la consentante, qui, fait expert, écarte imperceptiblement les cuisses, donnant ainsi le signal de l’entré en jeu du vibromasseur. Là encore, le prélude est on ne peut plus courtois ; la boule vibrante, sollicite d’abord les zones préliminaires, périphériques du con, elle contourne les lèvres, puis de détour en détour, s’en rapproche ; de son côté, le fouet attaque franchement le postérieur, les lanières mordent la croupe. Un traitement efficace qui provoque quelques cris et autant de soubresauts ; le bassin en vient à épouser la boule palpitante, les reins se cambrent pour prolonger la rencontre pressante avec les lippes trop heureuses de s’humecter et de s’entrouvrir ; les présentations étant faites, alors que le fouet, sur un tempo modérato, sans excès de zèle ni de cruauté, flagelle les cuisses, le vibromasseur en vient à la vraie raison de sa visite, il sollicite franchement le bouton de jouissance et maintenant la pucelle, en se tortillant dans tous les sens, alterne cris de douleur – le fouet choisit ce moment pour s’acharner sur le postérieur - et geignements de plaisir. L’enchaînée a vite les chairs échauffées, le sang en ébullition et le sexe en eau.
Mais, la consigne est de faire durer.
Le maître de cérémonie orchestre la performance ; les deux index levés, il donne la mesure du ...
... délicieux supplice. Ses assesseurs, attentifs à la moindre nuance, s’exécutent. Les deux instruments jouent leurs partitions complémentaires. Le vibromasseur est d’un naturel insistant, même si, pour se faire encore plus désirer, à l’occasion, il ne se prive pas de baguenauder dans les périphéries érogènes, il se focalise essentiellement sur le clitoris. Le fouet, lui, semble jouer sur une gamme d’intensité plus large, il frôle les épaules et les seins, câline les hanches, cingle la croupe, avec, si nécessaire, de déconcertantes ruptures de rythme. Ainsi, après avoir copieusement étrillées une fesse, les lanières, comme prises de remords, en viennent à cajoler l’autre demi-lune.
Cause de souffrance et de jouissance œuvraient ainsi à l’unisson, déclenchant des cris apothéotiques, dignes d’une symphonie en rut majeur. Et puis, à proximité du sommet, brusquement, la schlague s’interrompit pour laisser le champ entièrement libre au vibromasseur ; la boule inquisitrice partit alors dans un solo diaboliquement efficace qui amena Sophie jusqu’à l’extrême bord de l’orgasme. Mais juste avant qu’elle ne bascule, le vibromasseur se décolla du con. La privation cabra, comme un arc, la jeune fille. Cuisses obscènement écartées, cambrée à l’extrême, elle tendit désespérément son bassin et, dans un feulement de frustration, réclama la jouissance.
Le Maître de cérémonie d’une voix imperturbable :
« Vous êtes prête Sophie ?
— Ouiiii !!! Prenez moiiiiii.
— Cela manque de conviction. ...