Jeu
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Canellevanille, Source: Hds
... l’aspire, glisse ma langue entre les plis, m’enfonce en elle…
La fille se cabre, Thierry écarte ses fesses pour mieux voir.
Puis il l’attrape, la redresse, la retourne contre la voiture, la trousse. Il saisit ses hanches, colle sa queue contre le sexe de la fille. Elle brûle d’être transpercée. Il la fait se tordre d’impatience, passe sa queue entre ses cuisses plusieurs fois, entre les plis qui s’ouvrent, sur le clitoris, puis à l’entrée de la fente. Il glisse à peine, entre et sort… Elle halète, elle adore ça qu’on la fasse languir…
Je me cale entre elle et la voiture. Ses yeux mi-clos, sa bouche ouverte, ses seins frémissants aux tétons qui perlent, durs comme des bijoux, la chair de poule et son ventre tendu, tout en elle réclame cette queue.
Je caresse son visage, son front trempé. Elle se frotte comme un chat contre mes paumes… Il lui enfonce sa queue.
De ses yeux, d’un coup, jaillit l’éclat, et cette eau sur ses joues tant la voilà remplie. Elle se laisse aller mollement dans mes bras. J’aime son silence.
Il ressort sa queue presque entièrement et lui en remet un coup. Ses soupirs me ravagent.
La fille m’entoure de ses bras, pose ses mains sur la tôle, écarte ses jambes, creuse ses reins pour le sentir plus profond encore.
Je la contemple. Elle m’embrasse. Sa langue roulant sur ma langue, et ses hanches venant rebondir sur mes hanches, elle me fait ruisseler. Je meurs d’envie d’être ...
... prise, je crève de me faire démonter. J’adore ça, languir moi aussi, j’adore qu’on me fasse délicieusement patienter, l’exquise douleur au ventre… Il lâche à la fille de m’enfiler deux doigts. Ce qu’elle fait. Je soupire de la recevoir, je lui ouvre plus
largement mes jambes. Elle gémit fort maintenant. Il lui pétrit les seins, les fesses, il s’accroche à ses hanches pour qu’elle s’empale sur lui. Elle râle. Je lui parle pour ne pas qu’elle m’oublie dans son plaisir. Ses doigts me creusent, prennent la cadence. Je la sens venir, ça m’excite de l’entendre, de la sentir devenir bouillante, perdre le contrôle. Elle se cabre comme une pouliche et halète. Elle crie, essaie
de me fourrer sa main. Je crie, et jusqu’aux derniers spasmes, nous crachons notre bonheur.
Elle s’abandonne sur moi. Mais Thierry la remet à genoux. Elle se laisse faire comme une poupée de chiffons. Il se branle au-dessus de son visage adorable. Elle ouvre la bouche. Il explose.
Pantelante, je m’approche d’elle, lui fais tirer la langue pour me donner cette sève à avaler.
Je lèche les traces de foutre sur ses lèvres, lui dépose un petit baiser.
Elle n’a pas le temps de réaliser. Thierry et moi sommes déjà remontés dans la voiture, quand elle se relève. Je démarre, le moteur gronde, et nous filons.
Nous la laissons sur le bas-côté de la route, comme une biche effarée.
Quand nous sortons, avec Thierry, c’est notre jeu préféré.