Arnaques à L'Escala
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
fh,
fagée,
frousses,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
lunettes,
vacances,
collection,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
portrait,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... proposant de faire plus ample connaissance dans ma chambre. La situation lui paraissant tout à fait propice pour rendre la monnaie de sa pièce à son mari dont elle évoqua la conduite impardonnable.
Comme elle se trouvait trop grosse pour se montrer nue, elle imposa que nos ébats se passent dans le noir absolu, et cette contrainte était non négociable. Ses seins étaient si volumineux qu’une seule main ne suffisait pas à les englober. Au bout de quelques minutes, j’arrivai quand même à discerner des formes, car la pleine lune dissipait sa lumière à travers les volets à claire-voie. La bretonne, très active, dirigeait la manœuvre, et sa fellation consciencieuse porta ses effets. Elle trouva donc que c’était à mon tour de lui faire une gâterie. Elle enjamba mon corps allongé sur le lit et je vis sa silhouette s’accroupir au-dessus de mon visage, alors que ses bras prenaient appui sur le mur, derrière mon oreiller. Elle émit quelques gloussements de satisfaction mais m’invita vertement à retirer mon index de son trou du cul.
C’est elle qui se coucha sur le flanc et guida mon membre pour conclure. Après avoir libéré un flot de quelques milliers de spermatozoïdes, une petite panique m’ébranla. Je n’avais pas eu la présence d’esprit d’enfiler un préservatif dans cette chambre privée de lumière. Après concertation avec ma partenaire, il s’avéra que je n’avais aucune crainte à avoir. Ma partenaire d’un soir me laissa sa carte professionnelle, au moment du départ, le lendemain ...
... matin. Je les informerais éventuellement d’un élément nouveau concernant l’escroquerie dont ils étaient victimes.
Je faisais mes valises, mon séjour, rempli de surprises, s’achevait. Je rangeai mes trophées bien à plat : la culotte rouge XXL avec des broderies que Marie-Pierre, le slip en coton blanc de la bigoudène que je lui avais subtilisé, et la culotte bleue de Marie-Claude qu’elle ne pouvait plus porter dans l’état. Finalement, je les rangeai tout au-dessus, dans l’ordre des couleurs du drapeau tricolore, pour me régaler de la tête d’un éventuel douanier fouineur à l’aéroport. C’est en plaçant la carte de visite de la bretonne dans les rangements latéraux qu’un phénomène insolite m’apparut : elle s’appelait Le Flo… et se prénommait Marie-France. Curieuse loi des séries après Marie-Claude et Marie-Pierre !
Pratiquement trois mois après, je reçus une invitation pour un pot offert par le fils de mon amie l’infirmière, celui à qui j’avais trouvé un stage. Il fêtait son diplôme d’ingénieur dans le bled paumé de sa copine. Joint au carton officiel, il y avait un plan d’accès au village et à la salle des fêtes, annoté à la main : « Au rond poing, prendre la direction… »
J’avais déjà raconté l’escroquerie à ma copine propriétaire ahurie et, pour éviter toute récidive, je l’avertis que l’auteur de la faute d’orthographe devrait sérieusement se faire remonter les bretelles.
Dans la semaine qui suivit, une petite bonne femme, menue, la cinquantaine, vint sonner à ma porte ...