1. Graisse de Canard


    Datte: 18/02/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: byMyriam Brunot, Source: Literotica

    ... dans un échange de caresses et de baisers. La sodomie devait tout même l'exciter quelque peu car son sexe réagissait très vite à mes caresses.
    
    L'assistance, d'autant plus fascinée que Myriam racontait très bien, a bruissé de murmures excités. De réprobation? De plaisir malsain? Le président, un peu rouge est intervenu.
    
    -Mademoiselle, pourriez-vous nous épargner ces détails pornographiques qui nuisent à la compréhension objective et sereine de votre situation?
    
    Myriam a continué son récit.
    
    Antoine lui aussi cherchait à profiter de Josepha quand sa mère n'était pas là. Il s'approchait d'elle, glissait les mains sous sa jupe, lui pinçait les fesses et, entre autres misères, lui descendait les bas jusqu'aux chevilles. Josepha s'en est plainte plusieurs fois, devant nous tous mais mon père l'a envoyée ch... , euh, l'a renvoyée à sa cuisine : « Mais ce p'tit, faut bien qu'il apprenne à manier une femelle! »
    
    La salle n'a pu réprimer un soupir horrifié.
    
    Mon père aimait me frôler, me caresser les fesses comme par inadvertance, comme si l'étroitesse du couloir l'imposait. Un soir, il a commencé à me pincer les tétons comme il le faisait à Josepha. Je lui ai balancé une gifle magistrale dont je suis encore très fière. Il a titubé, je lui ai dit : « Sale con, si tu me touches, je raconte à la police le coup de la graisse de canard. » Il a compris que je ne plaisantais pas, et s'est ensuite appliqué à m'éviter, même du regard. Il ne m'adressait plus la parole, et moi je ...
    ... ne lui parlais que pour lui demander de me passer le sel.
    
    C'est un murmure d'approbation qui a encouragé Myriam.
    
    Il se plaisait à humilier Ingrid, notamment en parlant devant elle des femmes qu'il avait eu plaisir « à baiser ». Excusez-moi, il s'exprimait ainsi. « Mieux qu'avec toi! » ajoutait-il. Je me souviens d'un dimanche après-midi. Il avait invité plusieurs de ses amis, des gens vulgaires, accompagnés de leurs femmes ou maîtresses. Ils avaient tous bu, mais ils en voulaient plus et Ingrid n'avait pas acheté assez de bière. Il se lève, lui empoigne le bras, appelle Josepha : « Graisse de canard, apporte le paddle. » C'est une sorte de raquette de ping-pong en cuir assez rigide destinée à fesser plus fort qu'à la main. Il emmène Ingrid dans une pièce voisine. On entend des coups, des cris, des pleurs, des rugissements « Encore une, et encore une pour tes fesses, pétasse. Qu'elles soient bien rouges.» Le bois claquait la peau. Les invités étaient muets de stupéfaction. Personne n'a réagi. Mon père et Ingrid sont revenus. Elle pleurait. « Montre leur tes belles fesses d'écrevisse. » Il l'a obligée à relever sa robe et à montrer à tous ses fesses rougies, qui portaient bien visibles les traces des coups de raquette . Les rires gras ont détendu l'atmosphère. « Il n'est de bonne épouse que bien battue! C'est un proverbe arabe! » Ils ont pris des photos avec leurs téléphones. « Dès demain sur internet! » « Et même sur Fesse-Bouc! Ah, Ah, Ah!». « Qui veut la baiser? Elle ...
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