1. En ce matin de juin...


    Datte: 02/02/2019, Catégories: fh, jeunes, école, 69, pénétratio, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... appartement, mansardé, mais tout de même beaucoup plus vaste que le mien. Deux pièces aménagées avec goût, salle de bains et une vue magnifique sur la ville. J’étais éblouie, je lui ai dit combien il avait de la chance de disposer de ce nid.
    
    Comme la fois précédente, nous avons fait l’amour, mais j’ai un peu participé. Je l’ai guidé vers mon clitoris. Puis je me suis retournée et j’ai pris son sexe en bouche. Il était ébloui. Quand il m’a pénétrée, j’étais déjà plus excitée que la fois précédente. Il a commencé son galop désordonné, mais je l’ai freiné, mais mains sur ses hanches le bloquant en moi. Il a compris et cette fois cela a duré plus longtemps. Il a pris son plaisir, et pour moi cela n’a pas été désagréable. Dans ces conditions, je voulais bien baiser, c’était l’occasion d’avoir quelqu’un contre moi, qui s’intéresse à moi. Ainsi, de temps en temps, quand nous étions libres tous les deux, nous nous retrouvions.
    
    Un jour, après avoir fini leur repas, quand je leur ai apporté le café, ils m’ont retenu, et son père s’est adressé à moi :
    
    — Daniel m’a dit que vous cherchiez un logement plus agréable que celui où vous habitez. Il m’a proposé de vous louer son « grenier ». Vous l’avez visité, je crois, dit-il ironique, et il vous a plu. Ma foi, s’il consent à s’en priver, je veux bien.
    
    Daniel avait trouvé un moyen de me faire plaisir mais surtout de m’avoir sous la main chaque fois qu’il le désirerait. J’avais un peu peur du montant du loyer, mais ils l’avaient ...
    ... fixé à trois cents euros. J’ai accepté avec joie.
    
    Le week-end suivant, Daniel est venu me prendre avec ma valise et j’ai intégré mon nouvel appartement. Je lui ai versé une caution en nature, faire l’amour ne me coûtait rien et j’appréciais toujours d’avoir quelqu’un qui s’intéresse ne serait-ce qu’à mon corps. Ce jour-là, il est resté plus longtemps, renouvelant son exploit, il partait pour quelques jours.
    
    Le lundi, en sortant du restaurant, j’ai regagné mon nouveau domicile et je me suis douchée longuement dans la jolie petite salle d’eau. J’étais en peignoir de bain quand on a frappé à ma porte. Tiens, me suis-je dit, Daniel est resté, il vient me voir. Je suis allée ouvrir, c’était son père. Me voyant comme ça, il s’est excusé, voulait partir, mais je l’ai retenu, m’excusant pour ma tenue. Il venait voir si j’étais bien installée, si je n’avais besoin de rien. Je l’ai remercié et lui ai proposé un café qu’il a accepté. Pendant que je faisais le nécessaire, nous avons parlé. Mon peignoir était assez court, il m’arrivait à mi-cuisses, quand je me baissais il devait voir mes fesses. En le servant sur la table basse, mon vêtement baîllait, dévoilant mes seins. J’ai senti son regard dirigé sur eux. Je ne me suis pas redressée de suite, enchantée qu’un homme de son âge apprécie mes appas. Quand je me suis redressée, il a réalisé que j’avais surpris son regard. D’un sourire, je lui ai fait comprendre que j’avais apprécié sa curiosité. Il s’est redressé, gêné, ne sachant que ...
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