1. Evolutions (43)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    ... étant donné qu’elles n’ont participé à rien. Mais il était tout de même question d’homosexualité incestueuse entre elles, ce qui est quelque peu troublant. La seconde c’est qu’elle a parlé de Dorine et de gorge profonde, ce qui dans ma tête est un pléonasme, même si notre amie Charlène n’est pas en reste pour ce qui est de ce genre de pratique.
    
    Cependant, cela, mon petit bout de femme ne devrait pas encore le savoir, et elle ne m’a jusqu’à présent sucé que du bout des lèvres, même si c’était avec enthousiasme. Cela m’incite à penser qu’elle est allée voir notre amie masseuse en cachette, que cette dernière a commencé à parfaire son éducation sexuelle, et que ni l’une ni l’autre ne m’en ont rien dit dans le but de me faire une surprise. Et cela pourrait très bien s’être passé comme elle l’a raconté en parlant de Léa et Léo, ce qui indiquerait que son histoire n’est pas si fantasmatique que cela, mais inspiré de faits réels.
    
    Mon amante qui a cette fois très bien interprété mon silence me demande au bout d’un moment avec une pointe d’humour dans la voix :
    
    — Alors mon Amour, tu as fini d’analyser mes délires sexuels ? Tu es prêt à me donner ton verdict ?
    
    Je souris avant de répondre :
    
    — Je commencerai par dire que ...
    ... contrairement à moi tu racontes très bien les histoires, et que tu devrais profiter de ton temps libre pour en écrire. Ensuite, je ne suis pas choqué, et je ne pense pas que tu sois bonne à enfermer, étant donné que mis à part le côté incestueux auquel je commence doucement à m’habituer, tout comme la différence d’âge entre les protagonistes d’ailleurs, ton fantasme reflète une envie de liberté sexuelle qui pour l’instant est chez toi théorique, mais que tu es tentée de mettre en pratique.
    
    Je continue après une courte pose :
    
    — La seule chose que je te demanderai, si on part du principe qu’un fantasme est quelque chose d’imaginaire et que par conséquent on peut tout se permettre lorsqu’on en a un, c’est de m’expliquer ce qui dans ton récit entre dans le cadre des limites que tu as fixées, et ce qui en sort ?
    
    Elle me répond aussitôt, visiblement amusée par ma question :
    
    — Mais mon Amour, comme je te l’ai expliqué hier, si l’on part du principe que le temps est la quatrième dimension de ce cadre, tout y entre et il te suffira d’être patient. Bien entendu, à la condition sine qua non que tous les protagonistes soient consentants, et qu’aucune pression morale ou physique ne soit exercée sur aucun d’entre eux.
    
    A suivre... 
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