Evolutions (43)
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory
EVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 43 : Alice se dévoile...
Ensuite, Alice et moi parlons de choses et d’autres, comme tous les soirs en semaine, puis nous nous souhaitons de passer une bonne nuit et nous raccrochons.
Le lendemain midi, lorsqu’après avoir mangé au restaurant, je me rends sur la terrasse du bar d’en face, dans le but d’y boire mon café en compagnie de mon amante; je suis dépité de constater qu’elle ne se trouve pas à sa place habituelle. Comme la table que nous considérons comme étant la nôtre est restée vide malgré son absence, je m’y installe et j’interroge du regard le serveur, qui vient prendre ma commande et me répond d’un air désolé :
— Pas encore venue...
Il s’est tellement habitué à voir mon petit bout de femme tous les midis, depuis certainement bien plus longtemps que moi, qu’il a l’air de trouver lui aussi son absence étrange, comme si quelque chose manquait à son paysage.
J’attends cinq minutes, en me disant qu’elle a probablement été retardée pour une raison ou pour une autre, et au moment où je m’apprête à prendre mon portable dans le but de l’appeler, le temps semble pour moi changer sa course immuable. J’ai en effet l’impression de me retrouver comme dans un film, dont la scène serait tournée au ralenti, de manière à ce que le simple spectateur que je suis ...
... ait le temps d’enregistrer tous les détails.
₪₪₪
Alice vient d’apparaître au coin de la rue, et son apparence est totalement différente de celle à laquelle elle a habitué ceux qui la voient ici tous les jours de la semaine. Elle porte aujourd’hui une petite jupe plissée noire, assez courte pour lui arriver en haut des cuisses, et un chemisier léger rouge à manches courtes, qui semble contenir avec peine son opulente poitrine. D’autant plus que son fin vêtement, sous lequel on voit parfaitement qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge, n’est boutonné que jusqu’à environ la moitié de la hauteur de son buste, et offre le spectacle d’un décolleté fascinant.
Sa tenue est complétée par une paire de sandales à talons aiguilles, elle aussi rouge, qui, si elle n’est pas aussi sexy que celle que je lui ai offerte, a le mérite de dénuder ses mignons petits pieds dans leur intégralité. Quant à sa chevelure d’ébène, elle est attachée en une queue-de-cheval haute qui se balance joyeusement au rythme de ses mouvements.
Sa beauté naturelle fait que sa magnifique frimousse n’a pas besoin de devoir supporter le moindre maquillage, et c’est également ce que doivent penser tous les autres hommes présents qui ont tourné la tête pour la regarder arriver. Ils la voient non sans ressentir un certain dépit qui est visible sur leurs tristes figures, se diriger dans ma direction de sa démarche gracieuse, dont les déhanchements sont accentués par ses stilettos. Même si son visage est légèrement ...