1. Une agréable balade en forêt (1)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Dimitri29, Source: Xstory

    ... un premier doigt puis un second par le dessous afin de découvrir et pénétrer son antre vaginal. J’avais envie de la baiser. De la défoncer. De l’embrocher. Je la fis donc se lever et la mis dos à moi contre l’arbre, j’avais un bel aperçu des fesses de cette femme mure cambrée contre le tronc, et je pouvais deviner quelques poils logés dans sa fente. Ma queue était tendue, et je l’approchai de ce corps qui n’attendait qu’une chose, que je le pénètre. J’approchai, je mis ma queue sous les fesses de cette femme et vint frotter la touffe brune de sa chatte avec ma queue. Puis d’un coup sec, je la pris, je la surinai, je la fourrai. Elle ne gémissait guère, mais je n’en avais que faire.
    
    J’étais en train de fourrer cette supérieure, cette responsable, cette femme qui avait dû être irréprochable, mais qui n’avait sans doute pas assez profité des plaisirs charnels à en croire sa crispation que je n’aurais pas imaginé chez une femme de cet âge-là, la crispation apparut dès que je l’avais pénétré, crispée que je la baise.
    
    Il faut dire aussi que je la démontais. Je n’y allais pas de main morte, j’avais empoigné ses seins généreux toujours couverts par un soutien-gorge blanc que j’avais soulevé, ainsi je la tenais bien et pouvais la baiser à ma guise. Et j’y allais, les coups de butée contre ses fesses faisaient claquer, je sortis ma main d’un de ses seins et vint tenir cette femme forte, qui était de vingt ans mon aînée, par les cheveux. Je la tenais, la défonçais. Elle était ma ...
    ... proie.
    
    Mais j’en voulais plus. Je me dégageai alors de sa chatte, écartai ses larges fesses de mes mains, et vint coller ma queue dans son anus cerclé de quelques poils.
    
    Quand elle sentit mon gland lui toucher la rondelle, elle se surprit et dit « mais qu’est-ce que vous faites », puis cria un « oooooohhhhh » mêlé de douleur et de plaisir, au moment où je poussai ma queue dans son fion. Ses fesses et son fion étaient larges, et ma queue rentra assez facilement sans avoir besoin de lui préparer le cul. Ainsi en un instant, je la sodomisai contre un arbre. Et là, elle gémissait. Elle passa une main sur ma cuisse comme pour retenir les mouvements de mon bassin, mais cela était assez inefficace tant je lui fourrais le cul avec mépris et brutalité.
    
    Je faisais ce que je voulais d’elle.
    
    La rousse était à côté, regardait faire, presque bouche bée, ne bougeant guère.
    
    Voulant la prendre à son tour, je me dégageai de la première qui resta un instant cambrée sur l’arbre, comme si elle voulait récupérer d’avoir été autant défoncée, et vint vers la rousse, la retournai, la fis mettre à quatre pattes sur le sol, et baissa son short. Elle avait une petite culotte blanche tout en coton, sans fioritures, très sage, sur laquelle je devinais aisément une grosse tache incolore qu’un dégagement de mouille avait engendrée.
    
    Elle était beaucoup plus fine, presque naturellement glabre, il n’y avait que quelques rares poils châtains sur ses lèvres. Elle avait les genoux dans la terre, ...
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