Une agréable balade en forêt (1)
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Dimitri29, Source: Xstory
... plus à rien, je respirais calmement, j’étais presque à demi entre éveil et sommeil, je détendais mes mains en gratouillant de la main mon pubis poilu, et je restais ainsi.
Je me mis alors à rêver qu’on me surprenne, j’avais envie qu’une femme me voit, qu’elle me regarde, m’observe, ne pense à rien d’autre qu’au fait qu’elle me voie nu, qu’au fait qu’elle voie mon sexe, et se délecte de la seule observation de ma nudité. Je me mis alors tranquillement à me masturber.
Mais alors que je me masturbais tranquillement, j’entendis des voix de femmes et du grésillement de feuilles et de branchages produits par les pas des personnes qui parlaient.
J’ouvris immédiatement les yeux, comme pour raviver tous mes sens, et mieux évaluer le danger.
Les voix étaient assez éloignées, et je me sentais un peu protégé, caché par mon support dorsal, mon sexe dans la main, à écouter deux personnes parler sans savoir que je les écoutais, je trouvais la situation agréable. Un peu perverse, mais agréable.
Je continuai donc doucement à faire monter et descendre la peau de mon sexe à demi mou sur et sous mon gland. A en croire leurs voix, il s’agissait de deux femmes d’âge plutôt mur, la quarantaine au moins. Je prenais un malin plaisir à les écouter sans qu’elles le sachent.
Mais les pas s’approchaient, et les voix aussi. Un sentiment de peur mêlé à une folle excitation montait en moi et prenait le pouvoir dans chaque petite cellule de tous mes membres, et j’étais totalement figé par ...
... elle. Alors que mon cerveau m’envoyait d’énormes signaux d’alerte voulant me pousser à aller récupérer mon short et à me recouvrir rapidement, tout mon corps et mon anatomie étaient figés par un petit sentiment de vouloir voir, de vouloir savoir ce qu’il allait se passer, de vouloir que ça arrive.
Je ne pouvais bouger. Sans parler du fait que mon sexe longtemps mou sous mes caresses nonchalantes s’était prodigieusement durci et raidi à l’approche des voix et à l’augmentation de ma sensation de danger, et que même sous mon short, l’érection aurait été flagrante.
Les voix étaient là, à quelques mètres. C’était maintenant. Il était trop tard pour me relever et atteindre mes vêtements. Je restai allongé, ferma les yeux, feintant de m’être endormi, et attendu quelques secondes, écoutant les voix parler. Puis, tout d’un coup, la conversation cessa, la voix ne finit pas sa phrase. Je n’entendais plus rien, je retenais ma conversation, je me figeais, comme si cela allait me faire disparaître. Il n’y avait plus aucun bruit. Puis, un petit bruit de pas repris, un pas lent et discret qui pressait les feuilles et les brindilles jonchant la terre de façon délicate, comme s’il se voulait discret. Puis plus rien à nouveau.
Etaient-elles parties ? Etaient-elles toujours là ? Me regardaient-elles ? Que faisaient-elles ?
Je ne savais pas.
Je fis alors semblant de m’étirer, comme on fait quand on sort d’un long et profond sommeil, pour casser cet instant arrêté et silencieux, et ...