1. Une agréable balade en forêt (1)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Dimitri29, Source: Xstory

    ... j’entendis alors à nouveau le bruit de quelques pas dans les feuillages, à quelques pas de moi. Elles étaient toujours là. Elles me regardaient. J’étais le spectacle. L’œuvre.
    
    En repliant mon bras, celui-ci vint succinctement percuter mon sexe qui tomba alors à la renverse sur mon ventre. Je le récupérai de ma main gauche, puis le tenant, je me mis à le caresser doucement. Il avait débandé. Je pris pour projet de le rendre à nouveau dur. De le redresser. Je savais que j’étais observé, il fallait que je fasse bonne figure, et surtout savoir que se posait sur moi le regard de deux femmes me rendait passablement excité. Je me mis à me masturber vigoureusement, en gigotant du bassin, et je rouvris les yeux.
    
    Elles ne bougèrent pas, et ne dirent rien, elles me regardaient.
    
    Elles étaient là, à quelques pas de moi, je levai la tête, et plongeai mon regard sur la première. Il s’agissait d’une quadragénaire, voire quinquagénaire, elle avait des longs cheveux noirs, un visage plutôt fin, ovale, orné de lunettes de soleil rectangulaire, elle était plutôt grande, enrobée, et vêtue d’un pull noir qui lui moulait ses gros seins, et d’un pantalon de tissu gris.
    
    La seconde était plus petite, teinte en rousse, elle avait le visage rond et l’air jovial, pleine de bonhommie. Elle avait des petits rieurs et souriait allègrement. Elle avait enlevé sa veste et portait un t-shirt rose qui s’accordait mal avec un petit short vert kaki. Cependant, il était dur de ne pas voir deux ...
    ... petites bosses se former derrière son petit t-shirt presque un peu trop petit.
    
    Pour dire vrai, aucune des deux n’était belle.
    
    Je continuai de me masturber tout en les regardant, comme si je les tançais, les défiais de continuer à me regarder me masturber devant elles. Et pourtant elles ne bougeaient pas.
    
    L’instant était magique. Comme irréel. Toutes les barrières de la bienséance et de la pudeur s’écroulaient en même temps que je me branlais, nu devant ces deux parfaites inconnues. Je les regardais dans les yeux, persuadé que plus rien n’était impossible.
    
    Restant allongé à me masturber, je lançai alors un laconique « j’ai trop envie de me faire sucer ». Elles se regardèrent, sans rien dire. Et me regardèrent à nouveau.
    
    Je répétai mon envie, en me disant, dans un relent de socialisation, que si j’y mettais les formes cela passerait peut-être mieux. « S’il vous plaît, j’ai tellement envie que vous me suciez, ce serait trop bon, il n’y a personne, personne le saura».
    
    C’est alors que la rousse fit quelques pas vers moi, et se stoppa net, debout à un mètre, au-dessus de moi, me cachant la lumière du soleil. Elle mit les mains sur ses hanches et me jeta un regard supérieur, et me fit « vous n’êtes pas gonflé quand même, vous vous montrez comme ça, nu comme un ver, vous n’avez pas honte ? »
    
    Je ne sus que répondre à ce sermon venu à un moment où je ne l’attendais plus, je n’eus comme réaction que l’augmentation soudaine de mon excitation, le réflexe et l’envie de me ...
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