La sellette de Tannhäuser
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
f,
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fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... mot, simplement après avoir vérifié que j’étais réellement seul, elles se mirent à me tourner autour avec une insistance assez inhabituelle. Elles voulaient quelque chose, mais quoi ?
J’eus en fait la réponse très vite, quand la blonde vint se lover dans mes bras et qu’elle enfonça sa langue aussi loin qu’elle le pouvait dans ma bouche. Silvia, comme pour faire bonne mesure, venait déjà de s’attaquer à mon pantalon de toile. Je les repoussai fermement.
— Hé ! Qu’est-ce qui se passe ?
— Ben, c’est-à-dire que…
Les deuxzigototes étaient venues chercher ce que je leur avais promis quelque temps plus tôt, lors de la leçon d’amour que Pétra leur avait donnée, avec ma participation quelque peu forcée. Bon, d’accord, cela aurait été mentir de dire que cela ne m’avait pas plu.
— Mais vous n’avez pas un ami, maintenant ?
Et d’ailleurs, pour au moins l’une des deux, c’était même devenu bien autre chose qu’un simple copain, nous en avions été témoins. Cela dit, nous n’étions pas censés être au courant…
— Si, mais justement, on veut essayer, et avec eux, ben on a peur qu’ils nous fassent mal…
Je me retrouvais out, simplement avec des amies de ma future femme, qui étaient venues me rejoindre dans mon nid d’aigle juste pour que je leur apprenne, avec démonstration pratique à l’appui, je suppose, la sodomie.
— Vous rigolez ! Et que va dire Pétra ?
— Pétra ? C’est elle qui nous a indiqué où vous étiez quand nous sommes allées chez vous pour avoir le morceau ...
... manquant de votre petite leçon…
Oh, les cochonnes ! Bon, puisque de toute manière j’étais quasiment à poil et que, pendant le temps qu’avait duré cette discussion, Silvia n’avait pas lâché le morceau, je me retrouvai presque malgré moi avec un gourdin presque aussi dur que les morceaux de bois qui s’empilaient près de moi. Par contre, j’aurais bien aimé pouvoir dire qu’elles me tenaient toutes les deux par la queue, ce qui aurait voulu dire qu’elles avaient assez de place pour leurs deux mains tout du long de l’objet, mais allez savoir pourquoi, c’était impossible.
— Bon, puisque c’est ce que vous voulez… Mais je vous préviens, je ne vous fais pas le grand jeu. Casser du bois est fatigant, et je suis sur les rotules.
En fait, Pétra surtout y était pour beaucoup, dans ma fatigue, en tout cas bien plus que le bois que je ne débitais que depuis deux heures tout au plus. Quelquefois, je me demandais si elle dormait de temps en temps…
En attendant, les deux filles avaient ôté le nœud de leur robe de jute, qu’elles laissèrent tomber à leurs pieds. Tout aussi nues que moi, je les pris par la taille et les amenai contre le tronc d’un gros arbre couché, tout en laissant mes mains courir sur leurs fondements. Chacune d’un côté, je les poussai doucement contre le tronc, de façon à ce qu’elles s’appuient dessus, les fesses cambrées vers moi. Et là, je glissai doucement mes deux mains entre leurs cuisses, qu’elles ouvrirent spontanément, accédant à l’arrière de leurs chattes ...