La sellette de Tannhäuser
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
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frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... grands, un terrain à peu près plat, deux fois trois bouts de bois reliés ensemble en rectangle et fichés dans le sol, et une balle elle aussi confectionnée de bric et de broc avec un bout de cuir de vache remplit de paille, et l’un des tout premiers matchs de foot venait de commencer.
Par contre, faute d’avoir réussi à confectionner un cerf-volant – tout simplement parce qu’ils n’avaient pas de toile assez légère sous la main – je m’étais rabattu sur la fabrication de planeurs en bois, dont le vol avait quelque peu intrigué notre curé.
— Jean-Luc, si vous deviez repartir un jour, il y a quelque chose que je regretterai éternellement, c’est que vous ne m’ayez pas appris tout ce que vous savez.
— En vérité, je ne connais pas grand-chose, mon père.
— Ne faites pas le modeste. En tout cas, si vous ne savez pas, d’après ce que j’en ai vu l’autre fois, votre machine, là, elle en sait, des choses…
— En tout cas, bien plus que moi.
— Vous m’apprendriez à m’en servir et vous me la prêteriez ?
— Pourquoi pas, mais pour cela, il faut que j’aille la récupérer, elle est avec nos jeunes mariés.
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Cela faisait deux jours que nous avions laissé le tout jeune couple dans la forêt, sans que nous n’entendions parler de rien. De toute évidence, ils se débrouillaient très bien tout seuls, et le village et ses gens ne semblaient pas du tout leur manquer. C’est bien connu que quand on est amoureux, on est seuls au monde…
Eh bien, le moins que l’on puisse dire, ...
... c’est que seuls au monde, ils l’étaient, et pas qu’un peu ! Immédiatement à côté de la cabane tout juste rebâtie et qui leur servait de chambre nuptiale, il y avait une petite clairière. Lors du mariage, je l’avais repérée, me disant qu’un si joli petit endroit à l’écart de tout et de tous, cela m’aurait donné des idées mais qu’eux, débutants dans les choses de l’amour, ne s’y risqueraient pas. Et bien, je m’étais lourdement trompé…
Du petit sentier où j’étais, je ne voyais que deux fesses grosses comme des gousses d’ail, tout juste recouvertes de quelques poils noirs, se dresser vers le ciel. Mais au milieu de ces gousses d’ail, ce qui aurait pu en être le germe était sacrement dardé et de belle taille… Et si je ne voyais que le cul de ce qui ne pouvait être qu’Axel se détacher moitié sur le bleu du ciel, moitié sur le vert de la clairière, Elsa ne devait pas être bien loin, à entendre ses couinements…
Plus par curiosité de savoir où ils en étaient que par réelle volonté de mater, j’approchai doucement, faisant le moins de bruit possible. Exactement comme je l’avais prévu, le garçon était en train de lécher la chatte de la jeune fille, allongée sur le dos sur le tapis de mousse. Il se tenait devant elle, à genoux, d’où cette paire de fesses masculines que j’avais vue se détacher sur l’azur. Tous deux étaient nus ou presque, dans la mesure où Elsa ne portait comme seul vêtement que sa coiffe de mariée dont un morceau de tulle, farceur, lui tombait sur le visage. Pour le ...