1. La sellette de Tannhäuser


    Datte: 01/02/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, fffh, fbi, hplusag, frousses, religion, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, historique, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... doucement le gland, l’humectant de sa petite langue pointue, jouant dans les replis de peau, avant de le glisser dans sa bouche chaude. À entendre le souffle de l’homme, c’était délicieux, et moi qui était passé par là, je n’allais pas dire le contraire. Il ferma alors les yeux et se laissa faire, essayant tant bien que mal de comprendre ce qui lui arrivait, essayant aussi de se souvenir si jamais une femme l’avait sucé de la sorte, et il ne trouvait pas. Il n’avait connu en tout et pour tout que quatre ou cinq filles, la plupart pratiquant d’ailleurs le plus vieux métier du monde, qui attendaient tout de leur partenaire, se contentant de s’offrir sans s’investir.
    
    Or, cette jeune femme savait s’occuper de lui comme il ne l’avait jamais espéré, et il n’en revenait pas, appréciant au-delà de tout cette langue qui virevoltait autour de sa queue dressée, queue dont il avait presque oublié qu’elle pouvait être si raide. Maintenant, la bouche de Claudia allait et venait le long de son membre, sa main droite soupesant ses couilles couvertes de poils rêches, tandis que de sa main gauche il lui semblait qu’elle voulait l’empêcher de reculer, comme s’il allait se soustraire à tel plaisir !
    
    La tornade s’arrêta comme elle était venue, et la jeune fille lui déposa un chaste baiser sur les lèvres. De nouveau nous entendîmes parfaitement ce qu’elle disait.
    
    — Quand tu viendras à la maison, je te ferai essayer le savon dont Jean-Luc nous a donné la recette. Parce que ce n’est pas ...
    ... pour dire, mais ta bite, elle pue.
    
    J’eus un mal fou à me retenir d’éclater de rire. Par contre, l’homme, lui, se prit alors à penser que la fête était finie, qu’elle allait lui dire au revoir et s’en aller, sans dire un mot ni se préoccuper de lui. Au Moyen-Âge comme à toutes les époques, les allumeuses, cela devait exister.
    
    Ce fut tout le contraire : elle se redressa complètement puis souleva son bassin afin de passer sa jambe au-dessus de lui pour se mettre dans une position de cavalière, et s’empala d’un trait sur l’épieu de chair. Là encore, j’étais bien placé pour savoir qu’elle n’était pas très étroite mais qu’elle savait utiliser ses muscles intimes de façon redoutable, et il dut se retenir pour ne pas hurler de surprise et de joie.
    
    Tout cela était bien joli, mais moi, je commençais à m’ennuyer un peu. Des couples faisant l’amour, j’en avais déjà vu des tas, de tous les genres et si j’ose dire même de toutes les couleurs. Je passai doucement ma main sur les fesses de Pétra, qui ne bougea pas. J’en profitai donc pour descendre jusqu’au bas de sa robe, que je relevai toujours aussi doucement. La seule réponse de ma voyeuse fut d’écarter largement les jambes, dans une posture muette qui m’invitait à aller plus loin. Le rayon de lune qui illuminait le couple en bas était le même pour nous, et je vis alors dans un premier temps ses superbes petites fesses, et dans un deuxième, l’arrière de son sexe qui semblait bayer aux corneilles. Je savais combien le moindre ...
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