1. La sellette de Tannhäuser


    Datte: 01/02/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, fffh, fbi, hplusag, frousses, religion, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, historique, délire, fantastiqu, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... ouvrit instinctivement, tandis que j’enfonçai presque brutalement un doigt dans son vagin détrempé avant de remonter jusqu’à son anus, que je couvris de la mouille que je venais de recueillir un peu plus bas. À son tour, elle ne put retenir un petit cri, petit cri qui se transforma bien vite en ce feulement rauque dont elle était désormais coutumière, tandis que je la pistonnais du bout de mon majeur. Exactement sur le même ton que ma compagne, j’ajoutai :
    
    — Regardez bien ce que je vais faire. Je ne peux pas dire pour vous, mais je sais que Pétra, elle, elle aime beaucoup cela.
    
    J’avais fait en sorte qu’elle ait un doute sur mes intentions. J’eus très vite la confirmation que j’y avais réussi, puisqu’elle se cambra alors un peu plus, se préparant mentalement à recevoir ma queue tout au fond de son ventre. J’approchai alors et, tandis qu’elle s’apprêtait à l’accueillir dans sa chatte, je remontai mon sexe de quelques centimètres et le présentai devant son autre trou. Si elle fut quelque peu surprise de ce que je m’enfonce doucement en elle à cet endroit-là, ce ne fut rien à côté des deux autres filles, qui n’en croyaient pas leurs yeux.
    
    — Ce n’est pas possible ! On peut aussi de ce côté ?
    
    Tu parles que c’était possible ! En plus, si la première sodomie de Pétra ne remontait tout au plus qu’à une semaine, j’avais très vite remarqué qu’elle était assez friande de cette pratique, même s’il était bien entendu que je n’allais pas m’amuser à la prendre de la sorte et à ...
    ... cet endroit brutalement et surtout sans préparation. J’allais et venais tout doucement dans son rectum, et exactement comme je l’avais prévu, elle commença à geindre doucement, au rythme de mes coups de queue. J’accélérai alors la cadence, sans forcer, et je m’enfonçai voluptueusement au fond de ses reins. Je savais qu’elle aimait cela, même si nous n’étions pas ensemble depuis très longtemps, elle avait déjà eu l’occasion de me le montrer…
    
    Et comme s’il était possible que j’aie encore un doute, elle se cabra alors un peu plus pour que je la pénètre encore plus loin, les seins posés cette fois complètement sur le bois, tandis qu’elle s’accrochait à la table comme un bigorneau à sa falaise pour ne pas glisser à chacun de mes coups de pilon. Les deux filles n’en croyaient toujours pas leurs yeux, tandis que je continuai de labourer consciencieusement les reins de Pétra.
    
    Même si notre relation n’était que très récente, je savais que ses petits cris aigus étaient annonciateurs d’un orgasme imminent, aussi décidai-je de faire en sorte qu’il soit encore plus dévastateur qu’à l’accoutumée. Pour y parvenir, je me penchai sur elle, passant ma main sous son ventre pour atteindre son sexe, et plus précisément son bouton d’amour. Je n’eus qu’à le presser doucement quelques instants, mon sexe toujours aussi fortement enfoncé dans son fondement, et elle partit alors dans une longue plainte tandis que tout son corps se crispait sous le coup de la jouissance. Je me retirai alors vivement ...
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