1. Le grand chelem


    Datte: 31/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Scrup89, Source: Hds

    ... femmes que l’on voit dans les champs en Afrique. Une culotte blanche un peu lâche, transparente, qui ne demande qu’à être écartée et qui laisse entrevoir un cul magnifique, et, juste en-dessous, une chatte bien juteuse, aux lèvres boursouflées et proéminentes, un bel orteil de chameau ; elle a dû en prendre, celle-là. Penchée ainsi, les mains sur les poignées, très bas, c’est une vraie sculpture vivante. Bob règle les pieds de l’agrès, encore plus bas. Le buste est bien penché à présent, les nénés pendent à 30 cm du sol, et le fessier par contre est tendu au maximum, on devine l’anus prêt à me recevoir .
    
    Encore un détail, Bob me demande si je préfère l’entendre couiner ou si je veux qu’on lui mette un bâillon, il en a un justement. Pas de bâillon. Par contre on lui attache les mains pour bien l’immobiliser ; c’est Denise qui s’en charge.
    
    Denise justement vient vérifier si je bande toujours. Experte, elle passe la main sur mes couilles puis sur la bite, et fait signe aux autres : tout est ok.
    
    Serai - je à la hauteur ? Je n’ai jamais fait cela. Elle s’en doute un peu, m’approche de sa copine, me met en position, et écarte la culotte .Fabuleux spectacle ; encore mieux que ce que j’ai vu tout à l’heure, et ma queue déjà bien dure se met au garde-à-vous ; c’est incontrôlable. Alors elle me glisse dans la chatte, histoire de lubrifier un peu la bite et d’exciter Marcelline. Puis sans prévenir, elle me décalotte, met le tout en position, le gland juste dans les tout ...
    ... premiers plis de l’anus. Jusque là tout va bien. ‘Vas-y, d’un coup, jusqu’au fond ». Elle guide la bite, qui disparaît d’un coup dans le conduit. Un cri terrifiant. Et l’autre qui m’oblige à pousser comme un âne… J’y suis, je sens mes couilles battre ses fesses, c’est super bon. Et les couinements qui n’arrêtent pas, bien au contraire… Mais c’est si bon. Je finis par inonder de sperme le cul de ma victime, et là c’est moi qui me mets à couiner.
    
    Nous voilà dénoués, il nous reste juste à nous rincer un peu.
    
    J’ai joui dans la bouche de Céline, j’ai baisé Célestine, j’ai enculé Marcelline. Je pense avoir gagné le Chelem qu’on m’a promis.
    
    Mais non, il reste Denise. Que va-t-il m’arriver ? Bob donne le signal.
    
    - Denise, as-tu ce qui était prévu ?
    
    - Oui, bien sûr.
    
    - Equipe-toi, je vais préparer notre ami.
    
    Je suis toujours à poil. Mais personne n’y prête vraiment attention. Voilà Denise qui revient, avec une sorte de body, troué au niveau du sexe ; et il en sort un long gode en bois. Elle s’ajuste un peu pour bien montrer que l’autre moitié du gode est fichée dans son vagin.
    
    - En levrette, me dit-elle, tu vas aimer.
    
    Pas le choix ; je dois passer à la casserole. Je suis à genoux, et Denise s’approche tout doucement par derrière. Avant tout elle prend soin de me caresser la bite comme si elle me branlait. J’ai déjà juté à trois reprises et, comme je ne débande pas, ça commence à faire mal.
    
    Denise s’ajuste à moi et glisse la bite d’ébène dans mon anus. Avec ...