Le grand chelem
Datte: 31/01/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Scrup89, Source: Hds
LE GRAND CHELEM
Cette aventure se déroule en Afrique de l’ouest. Une de nos anciennes colonies. Au cours d’une mission de quatre semaines.
J’arrive vers la fin de mon séjour, l’organisation pour laquelle je travaille m’a donné quartier libre pour la dernière semaine car le boulot est terminé.
Je n’étais pratiquement pas sorti depuis trois semaines. Le bureau, ma case, un restau de-ci de-là, rien de bien folichon. Du coup, comme j’ai un 4x4 de service, je sors un peu. En ville tout d’abord, puis hors les murs, puis en brousse. Mais, pour cette partie-là, je suis accompagné par un Africain, Bob ; c’est un auxiliaire de la mission. Je lui laisse le volant ; nous en sommes en tenue « short chemisette » car c’est la saison des pluies et il fait très chaud… A peine supportable.
A un moment, l’averse est si forte que nous sommes obligés de nous arrêter. Je sens la main de Bob sur ma cuisse. Toute en douceur.
- Tu es en nage.
- Oui, c’est difficile à supporter.
- Je vais te mettre à l’aise, laisse-moi faire.
Ce faisant, il défait ma ceinture, prétendant que je me sentirais mieux. Ne voulant pas le vexer, je laisse faire. Il s’attaque alors à ma braguette toujours en douceur. Et je me retrouve en slip. Pour le moment il en reste là. Mais pas longtemps. Il ne me dit pas un mot, mais il s’occupe de ma bite comme jamais je ne l’ai fait avant lui… Il la sort, me tripote les couilles, me baisse le slip et me l’enlève, je suis à sa merci.
- Tu aimes ?
- Oh oui, ...
... continue, mais je ne pourrai pas tenir bien longtemps.
- Pas grave. Laisse-toi faire, c’est la première fois que je masturbe un blanc.
Il ouvre sa bouche et me gobe d’un coup, je ne peux rien faire ; je suis à lui. Et ce qui devait arriver arrive d’un coup. Bien trop vite à mon goût ! Mais il s’y attendait, il n’en laisse pas une goutte.
Comme la pluie continue de tomber, et que je suis toujours à poil, voilà que Bob se déshabille à son tour. Bite molle, pour le moment. Je crois bien que je vais devoir lui faire du bien, en tout cas il attire ma main, j’hésite, j’y vais… Un vrai monstre, son truc.
- N’y va pas trop vite avec la bouche ; c’est trop long pour toi, trop gros aussi.
Je caresse ses couilles, aux poils crêpus, sa bite qui ressemble à un serpent ; je sens qu’il va jouir lui aussi. – Oui …. Il envoie une giclée qui se répand sur mon visage, et il vient à son tour la lécher jusqu’au bout.
La pluie cesse, nous rentrons, il ne cesse de me toucher les genoux, la cuisse, l’entre-jambes et … le bidule, bien entendu. Mais il ne va pas plus loin.
- Je passe te prendre demain matin ; on ira dans un village. Il y aura une surprise pour toi.
Le lendemain, vers 9h, le voilà qui se pointe à ma case. Bermuda blanc ; t-shirt blanc. Je me sens obligé de l’imiter.
Après 30 km de piste, nous arrivons à un village. Après avoir salué le chef, le griot, et quelques connaissances, Bob m’entraine à l’écart. « Voilà l’école, c’est fermé aujourd’hui dimanche. Il y ...