Dérapages. 08
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... Elle pleure à grosses gouttes, elle pleure. Jess pleure sans s'arrêter, elle est tellement soulagée, elle a eut tellement mal, plus jamais, plus jamais ça. Je la réconforte, sèche ses larmes, la prend dans mes grosses mains qui cette fois-ci l'apaise. Des vraies mains d'homme dans lesquelles on peut avoir confiance et se ressourcer.
- Je t'aime ma petite Jessica, je vais sortir doucement, et tu n'auras plus jamais mal.
Avec beaucoup de douceur, les mains posées sur ses petites fesses, je commence à sortir précautionneusement ma bite toujours gonflée. Tout doucement pour ne pas la faire souffrir. Un, deux, trois, quatre, cinq centimètres s'extirpent de ses entrailles dévastées. Il en reste encore une vingtaine à extraire. Jess serre les dents à chaque fois que je bouge, elle s'ouvre autant qu'elle peut pour me laisser sortir. Ma fille pousse autant qu'elle peut pour accélérer la manœuvre. Jess souffre, mais la délivrance se rapproche. Six, sept... mon enfant se retourne pour voir où j'en suis, huit, neuf, dix, "cueillir des cerises"... Et là Jess voit sur ma bite des petites gouttes de sang d'un rouge très profond, oui comme des cerises, du sang qui s'écoule en direct depuis les plaies que j'ai ouvertes à l'intérieur de son corps. Jess saigne, elle saigne du cul, et ça n'en finit pas. Ma sauvagerie aura fait des ravages qui lui laisseront des séquelles à vie, comme elle le découvrirai plus tard.
Onze, douze, treize, quatorze, quinze, ça glisse plus facilement ...
... maintenant, son sang lubrifiant malgré lui cette chose monstrueuse qui lui rend sa liberté. Jess sent très profondément son gland repasser ses anneaux à l'envers, ce qui manque de la faire tourner de l'œil. Heureusement, moi, son propre père incestueux, lui donne des petites claques qui l'empêche de s'évanouir.
- Hé, reste avec moi, tu es toute pâle, il faut qu'on s'occupe de toi ma petite Jessica!
Seize, dix-sept, dix-huit, je ralentit... dix-neuf, vingt, plus que cinq! L'imminence de la fin de son calvaire la remplit de joie. « Je t'aime Papa, merci, merci, prends-moi dans tes bras, oui comme ça, serre-moi fort, console-moi, réchauffe-moi, j'en ai tellement besoin... » pense ma fille. Mes bras font le tour de sa taille, la caresse, lui font du bien. Vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois, on y est presque, il ne reste que deux centimètres de mon gland dans le corps de ma fille.
- Jessica, je t'aime beaucoup, et pour me faire pardonner, je vais te faire un cadeau.
Jess se détends, elle s'apaise, d'une certaine manière. Ma fille ne s'est jamais sentie aussi calme et heureuse. Un cadeau? Peu importe, du moment que ça s'arrête, que tout ça s'arrête et ne revienne plus jamais. C'est ça le cadeau dont Jess rêve.
- Ma petite chérie, je vais à présent te donner ton cadeau...
Je lui chuchote cette phrase à l'oreille, d'une voix douce. Je pose alors mes mains sur ses fesses, les serre pour enfin terminer ma douloureuse extirpation pour elle... quand soudain, je me crispe sur ...