Dérapages. 08
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... un cyclone, je couche les blés sous mes pas, je les meurtris, et la ligne que je dessine restera pour toujours. Les blés écrasés ne se relèveront plus jamais. Pour ma fille que je viole analement, je n'apprécie pas la pureté, je n'apprécie pas la beauté, je ne sait pas apprécier ça, la beauté, l'innocence, ça me rend malade, et je dois les détruire. Je dois la détruire. Et je le fais avec un plaisir indicible. Jess m'a parfaitement cerné.
Un spasme plus violent que les autres la sort de sa torpeur. Une contraction réflexe de ses sphincters à la limite de la crampe, une vraie crampe anale en fait qui ne s'arrête pas, qui persiste, qui irradie, qui lui retourne le cœur. Son corps désirerait plus que tout pouvoir se relâcher, mais le voilà tétanisé par cette douleur en haut débit ininterrompue, infligée par une grosse bite qui ne doit pas en être à son premier essai, une bite qui rentre dans un corps tout pur, tout vierge, et qui en plus se permet de tout écraser pour se créer un petit chemin là où il y en avait pas. Son corps se tord de douleur, elle se débat comme une damnée dans les flammes, mais elle est à bout de résistance...
- Dis-moi Jessica, tu veux que j'arrête?
« Qu'a-t-il dit? » pense ma fille. Jess n'en croit pas ses oreilles. Je lui propose d'arrêter? Jess ne comprend rien. Son esprit, tout accaparé par la souffrance, a du mal à atterrir. Ma fille se retourne, sa queue toujours plantée en moi, et malgré la douleur, elle me regarde, incrédule.
-Jessica, ...
... veux-tu que j'arrête? Je lui répète ma proposition.
Jess ne rêve pas, je lui propose bien d'arrêter! Elle croise mon regard, mes yeux ne mentent pas, ils sont apaisés, doux et la fixe attentivement, à la limite de la compassion. « A-t-il fini? » se demande ma fille. « Pourquoi un tel revirement, aussi soudain? » Jess oublie presque sa douleur, elle a envie de pleurer, elle n'y crois pas, pour un peu elle m'embrasserait. Ma fille a envie de me dire que si je m'arrête là, elle me pardonnerai tout. Qu'elle aimera pour la vie, qu'elle sera sage, docile, obéissante, pourvu que je mette fin à cette torture. Oui elle me pardonnerait ce que je lui ai fait, elle est même prête à m'appeler comme je le voudrais. Le bonheur la submerge, quel soulagement, l'émotion est trop forte, tout son chagrin remonte, Jess a vraiment très envie de pleurer.
- Oui mon papa chéri, j'aimerais que tu arrêtes.
C'est la première fois que ma fille m'appelle "Papa chéri". Ça me touche. Mes yeux sont embués, je suis ému. Jess me sent compatir, elle le sent au plus profond de son cœur. Ça la réchauffe de l'intérieur, c'est doux, c'est chaud. Je lui souris, je lui passe une main dans les cheveux, et lui parle tendrement.
- Je sais que je t'en ai fait baver, tu es une bonne petite fille, ma douce petite fille, oui tu es toujours une petite fille pour moi, malgré tes vingt ans, excuse-moi pour le mal que je t'ai fait.
A ces mots de réconfort, les sanglots que Jess réprime depuis un moment débordent. ...