1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’infirmière (1/1)


    Datte: 18/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... faisant mal à mes cicatrices, mais c’est supportable.
    
    - C’est vrai elle est belle, je suis infirmière, pas pute, j’ai une cousine qui pourrait te rendre ce service.
    
    Je lui saisis la main et la pose sur ma verge.
    
    - Tu sais être persuasif, j’ai un peu de temps, je débute comme infirmière et j’ai encore peu de clients.
    
    Elle est infirmière et aurait pu être pute comme sa cousine.
    
    Elle se penche et commence à me sucer.
    
    Je passe ma main dans sa blouse et empoigne un de ses seins, il réagit, la fraise apparue tout à l’heure, double de volume dès l’afflux de sang comme il pulse dans ma verge.
    
    Je la délaisse un instant pour me glisser en dessous.
    
    Elle ruisselle, une femme qui mouille comme elle, est presque dans votre lit.
    
    Elle me suce divinement, elle écarte même légèrement ses jambes pour que je la caresse plus profondément.
    
    Je sens qu’elle est loin d’être vierge, sa chatte s’ouvrant facilement à ma pénétration.
    
    Elle me relâche un instant.
    
    - Je sens que tu as envie de me baiser mais il est trop tôt rapport à ta blessure.
    
    Je vais faire retomber ta tension et nous irons sur ton lit quand je jugerais que tu es bien guéri.
    
    Ce sera 100 € chaque jour.
    
    Attention, je sais que tu me dois 4 000 € quand tu seras guérie.
    
    Inutile de croire que tu as fait de moi ta pute.
    
    - Embrasse-moi avant de ...
    ... me finir, pas ma pute mais mon infirmière particulière, tes autres clients, terminés.
    
    Dix jours à me sucer.
    
    Dix jours à faire gicler mon sperme ou l’avaler.
    
    Dix jours avant de la prendre sur la table après qu’elle a enlevé mes points de suture.
    
    Elle voulait que j’attende que tout soit consolidé.
    
    Sa chatte entièrement épilée, mais ça mes doigts l’avaient déjà senti quand je la caressais, se donne à moi comme aucune chatte ne s’est donnée.
    
    Comme prévu, elle refuse tout client.
    
    En ce moment, nous sommes au soleil à Tahiti, mollement allongés sur le sable noir de la plage de notre hôtel.
    
    J’ai appris à Virginia à conduire une moto en faisant le tour de l’île chaque jour.
    
    Notre but est loin de voir le trou du souffleur, mais de nous sauver de Papeete le plus vite possible pour nous réfugier au centre de l’île dans une cabane que j’ai repérée.
    
    Quand on braque, surtout sur une île, il faut savoir protéger ses arrières.
    
    La banque que nous avons repérée, qui reçoit la plupart des recettes des supermarchés et la paye d’une usine tous les vingt-cinq du mois, est loin d’être une forteresse imprenable.
    
    Ce dont je suis certain c’est que notre coup fait, dans cette cabane, la montée de notre adrénaline surtout pour Virginia qui sera montée à son premier braquage fera d’elle une folle du cul qu’elle est déjà. 
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